La voluptueuse dégradation de Florence (1)
Datte: 27/04/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
Florence, agenouillée dans la petite cabine attendait en tremblant qu’il se passe quelque chose, sans oser deviner à quoi servait ces trous d’environ 10 centimètres de diamètre percés dans les murs. Aidée par l’alcool, elle maintenait son imaginaire à distance, mais quelque chose en elle savait exactement ce qui allait arriver et un désir mêlé à la peur imprimait à son corps des vagues de tremblements irrépressibles.
Si elle avait dû rendre des comptes, elle aurait eu beaucoup de mal à justifier sa présence dans ce petit recoin sordide de Pigalle, à quelques kilomètres de chez elle et aux antipodes de son monde. Si elle avait dû rendre des comptes, elle aurait sans doute évoqué les cocktails qui avaient défilé sans interruption tout au long de la soirée, l’excitation des filles dans laquelle elle s’était laissée emporter, elle aurait même évoqué le savoir-vivre, lui interdisant dans une certaine mesure de résister à ce tourbillon, au risque de passer pour une rabat-joie auprès de ses amies. Ce n’était pas sa fête à elle. Ce n’était pas elle qui avait décidé de s’enfoncer dans les bas fonds de Paris, elle y avait été entraînée par les copines. Émilie enterrait comme elle l’entendait sa vie de jeune fille, et Florence n’aurait rien eu à y redire, ce n’était pas sa fête à elle après tout.
Ce n’était pas elle qui avait décidé de recourir à des chippendales avant d’entamer une tournée des grands-ducs ou des grandes duchesses, déjà bien émoustillées par les frôlements plus ...
... ou moins appuyés des garçons à la peau luisante. Ce n’était pas elle qui avait décidé de s’encanailler dans le quartier des putes, d’entrer dans les sex-shop, les peep-show, invités par les videurs bien contents d’attirer de belles bourgeoises bien propres.
C’est ainsi, de fil en aiguille, à son corps défendant, que Florence s’était retrouvée agenouillée dans une cabine de gloriole, sous la lumière crue et crépitante d’un néon, par curiosité tout au plus. « Jusqu’ici tout va bien », disait une voix en elle. Au point où en étaient les choses, si elle lui demandait des comptes, Florence saurait museler sa bonne conscience de banlieusarde pavillonnaire, d’épouse fidèle, de prof respectée, de mère de deux grands ados bien élevés. Mais les choses n’en restèrent pas là.
Elle n’eut pas longtemps à attendre avant qu’une bite surgit à sa droite et une autre à sa gauche. Elle poussa un cri muet en portant ses mains à ses joues, précisément comme dans le tableau de Munch. Une des queues était noire et énorme, la plus grosse qu’elle eut vu en vrai.
Florence aurait sans doute eu plus de difficulté à justifier la suite des évènements. Le tremblement en elle s’accentua lorsqu’elle attrapa sans réfléchir, parce que c’était la suite logique, une bite dans chaque main. Elles étaient dures comme du bois, des bites de très jeunes gars, se dit-elle, ou de mecs gavés de Viagra.
Florence, toujours agenouillée, commença à les branler doucement, s’arrêtant pour parcourir du bout des doigts ...