Au plaisir des dames (2)
Datte: 24/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Homme-jouet, Source: Xstory
... entièrement recouvert par son prépuce sous lequel se dessine le relief d’un généreux bourrelet évasé à souhait ; en résumé une queue excitante en diable, augurant d’une extrême douceur, combinée à voluptueuse tension massante des parois de sa chatte. D’ailleurs la culotte de Marie en fut, une fois de plus, le témoin direct.
D’une main menue, elle se saisit du manche dur et épais dont elle fit à peine le tour de ses doigts. Elle tira lentement sur la peau et la grosse tête violacée dévoila sa fine texture lisse et brillante de mouille masculine. En son sein, tel un œil félin l’observant, le méat s’ouvrit à mesure qu’elle tira sur le prépuce, laissant s’échapper sous le regard envoûté de Marie, une nouvelle goutte transparente et luisante.
— Incroyable ! On dirait que tu mouilles comme une fille.
— Oui, ça m’arrive dès que je suis très excité.
— Dois-je en déduire que je t’excite beaucoup ?
D’un bout de ses doigts, elle recueillit la goutte qui perlait et la porta à sa bouche. Elle avait un léger goût sucré, évoquant vaguement celui des amandes.
— Hummm, j’adore !
Elle sortit sa langue et plaquant la queue contre le bas-ventre, elle la fit évoluer le long du relief urétral gonflé. Arrivée à l’extrémité de la verge, elle s’attarda pour jouer avec le frein, agaçant cette fine peau froncée et tendue qu’elle savait si sensible à la moindre caresse. Une nouvelle goutte s’échappa et s’étala sur les papilles de Marie qui engloutit alors avidement ce sexe qui ...
... l’avait que trop longtemps excitée en vain. Elle avait une petite bouche et dut l’ouvrir le plus largement possible pour accueillir et sucer son amant. Mais elle adorait trop le goût et la texture de ce sexe pour que ce détail vint gâcher son appétit. Le visage de Raphaël, déformé de plaisir, répondit au sien, déformé par ce pieux qu’elle aspirait d’une avidité non dissimulée.
Elle fit une pause pour reprendre son souffle. Positionnant le chibre de côté, elle fit naviguer ses lèvres ouvertes sur toute sa longueur. Sa bouche déposa sur la peau lisse, une abondante traînée de salive depuis le gland, vers la hampe toute aussi large pour mieux y faire glisser sa main par la suite. Puis elle replongea en bouche, la large friandise couleur prune pour se sentir, une fois de plus, remplie de ce désir masculin palpitant contre sa langue et qui la chavirait. De nouveau plaquée contre le frein, elle l’anima de petits va-et-vient. Elle adorait la faire glisser contre la douce texture si lisse, à la fois moelleuse et néanmoins ferme, de ces deux renflements autour du frein pendant que le manchon de ses doigts évoluait le long du pieux dur comme du bois.
Le branlant lentement ou accélérant brusquement, elle le tint sous son contrôle au gré de l’intensité de ses gémissements, aspirant régulièrement sa production préorgasmique dont il l’abreuvait dès qu’il manquait de jouir. Quand sa culotte ne eut dépassé ses capacités d’absorption liquide, Marie se releva.
— Baise-moi... Baise-moi ...