Au plaisir des dames (2)
Datte: 24/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Homme-jouet, Source: Xstory
... glissèrent de quelques centimètres vers sa fente. Il entra en contact avec le fin tissu humide de la culotte et, passant en dessous, il inséra l’extrémité d’un doigt dans le sexe totalement détrempé d’extase. Tout le corps de Marie fut soudain pris de tremblements. Dans le même temps, ses jambes se resserrèrent d’un cran de plus autour de Raphaël, quand brusquement, l’air qui semblait bloqué dans sa gorge, sortit dans un cri la libérant de toute la tension orgasmique accumulée en quelques minutes.
Les spasmes involontaires qui secouèrent son corps, firent plusieurs fois heurter son clitoris contre la hampe dure de Raphaël, lui tirant un sanglot d’extase à chaque mini-impact contre son bouton que l’orgasme avait rendu hyper-sensible.
Tandis que le corps de Marie se calmait, il la reposa à terre et reprit sa bouche dans un long baiser profond. L’enlaçant dans ses bras, elle serra son visage contre le sien avec fougue. Cependant, sa bouche voulait une autre saveur : une saveur plus virile, plus intime, plus enivrante. Lâchant leur étreinte, ses bras fusèrent vers la ceinture et la débouclèrent avec précipitation. Comme cette maudite fermeture se montrait récalcitrante, elle quitta, dans un sourire presque agacé, les lèvres de Raphaël dont le propre sourire exprimait un mélange de ravissement et de surprise moqueuse. Mais elle ne le calcula même pas, tant son désir accaparait ses pensées. Elle n’avait plus qu’une idée en tête : extraire et avaler ce sexe qui l’avait ...
... tant faite jouir.
Quand enfin la ceinture et le bouton cédèrent, Marie marqua une pause dans son empressement, comme pour se délecter de cet instant où ce sexe qu’elle ne connaissait pas, allait se livrer à sa contemplation. Depuis son premier amour, elle n’avait cessé de trouver le sexe masculin d’une beauté à en perdre la tête. Elle n’avait malheureusement pas une aussi haute opinion du sexe féminin, qu’elle trouvait disgracieux, rougeâtre un peu comme une plaie béante et avait bien du mal à comprendre ce que les hommes pouvaient lui trouver. À l’inverse, cette colonne de chair qui se redressait et gonflait, témoin du désir des hommes, la rendait littéralement folle de désir.
Lentement, elle fit glisser la fermeture éclair, libérant un peu plus la hampe encore contrainte par un carcan de coton dont la résistance était mise à rude épreuve. Derrière cet ultime rempart, le soldat quasiment au garde à vous, montra de grands signes d’impatience et dès que le pantalon fut abaissé sur les cuisses, il adopta une position horizontale. Marie trouva tout de suite à ce gaillard, une fort belle carrure. Elle posa un doigt sur lui et à travers tissu, glissa jusqu’à sa tête qu’elle sentit nettement frémir. Puis remontant le long de la hampe, elle inséra ses doigts sous l’élastique tendu, libérant enfin l’individu qui acheva, en quelques secondes, sa mise en forme.
Légèrement incurvée, bien épaisse, une peau douce et fine parcourue de longues veines saillantes, un gland volumineux ...