Bal masqué
Datte: 24/04/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... subrepticement la main. Ou un gars, on sait pas.
Un chapeau pour confirmer la nature costumée de la tenue.
Elle me dit mais comment vais-je t’accoutrer ? Moi fille déguisée en garçon, veux-tu, toi, être déguisée en fille ? Je puis te donner une robe. Et aussi une perruque de blonde avec deux extensions de cheveux clairs en tresses. Te faudras passer à la douche pour raser tes jambes. Et puis voir pour des ballerines à ta taille. Combien chausses-tu ?
Faut pas qu’une fille soit trop grande, donc tu seras en talons plats.
Mettras-tu un slip sous la robe ou bien resteras-tu tout nu la bile pendante les couilles à l’air libre ?
Ils étaient prêts pour la soirée, elle habillée en mec et lui déguisé en gonzesse. Ils ont frété un taxi. Le chauffeur ne s’est aperçu de rien.
Sur la banquette arrière elle a remonté la robe et trituré la bite. Il était aux anges. Il pensait finalement les filles ont trouvé le bon combo avec ces robes ces jupes ouvertes sur leurs secrets.
Tout le bonheur du monde...
La soirée commençait par un dîner. Table avec cartons pour marquer les positions des unes et des autres.
Personne n’a compris.
Elle était cheveux courts, déterminée, péremptoire, conne comme mec. Pire. La veste, sa veste, couvrait le poitrail et ses petits tétés minuscules plats comme œufs au plat. Le reste était sous la table et on ne voyait rien de ses hanches larges.
Personne n’a rien vu, n’a rien su.
Lui était fardé comme biche de Frank Alamo ...
... blonde gretchen aux deux tresses avec noeuds de deux rubans bleus. La robe n’était pas marquée de nibars proéminents mais qu’importe, les convives à la table imaginaient tout cela. Bandants sur rien. Le sourire du mec qui se sentait gonzesse suffisait.
De toutes façon, l’ambiance était au loufoque et tous étaient ici déguisés en toute sorte de choses. Dîner de têtes, dîner de fous.
Et après, on a dansé.
Les gars ont voulu prendre la gretchen et la faire tourner en rocks endiablés. Dans les bras solides, sous la robe légère la blondinette bandait et tout le monde le voyait. Effleurer un gland sensible d’une paume délicate en passe de be-bop, penser que tout est écrit et qu’on n’y peut rien changer. Et qu’on va, ensuite, fort la mettre...
Le garçon, fesses rebondies dans son futal costard de mec, ne faisait, lui non plus, guère illusion et tout un chacun voulait y mettre la main. Main large sur le bas des fesses, charnus hardis en fond de craque à tâter le velu à travers l’étoffe fine humide.
Elle trouvait ça bon et souriait, heureuse, ouverte à la cantonade.
Et ici le trouble faisait trembler.
Les sexfriends se regardaient devant ces destins nouveaux.
La grande fille en amours homos de grands mecs, solides eux aussi, qui la reluquaient en concupiscence et prévoyaient l’enculer profond.
Le gars dans sa robe de jeune fille les mains de tous ces mâles sur sa bite dressée se sentait en paradis et pensait tout commence, ma vie est aube naissante.