1. Suzanne et les hommes (4)


    Datte: 24/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... certainement s’en rendre compte, je suis vraiment une trainée ».
    
    Suzanne regimba sans grande conviction.
    
    — Nous risquons d’attirer l’attention en faisant du bruit.
    
    — Mais non, vous savez bien que la pièce est insonorisée.
    
    Il disait vrai. Cet aménagement était prévu pour garantir la confidentialité auprès de leurs clients.
    
    — Appuyez-vous sur le bureau, je vais dégager les lobes des fesses.
    
    Suzanne sentit une partie de l’étoffe entrer dans la raie puis advint le contact d’une paume, pas trop violent, accompagné d’un claquement caractéristique.
    
    — Je suis complétement folle, pensa-t-elle, je ne peux pas le laisser me traiter ainsi.
    
    Pourtant, elle ne bougeait pas comme paralysée, sous l’effet d’une drogue opiacée. La position n’avait rien de confortable et elle ne pouvait réprimer le tremblement de ses jambes. A la réflexion tout son corps tremblait au rythme des claques qui devenaient plus fortes.
    
    — Votre peau est si douce. Ah le vilain tourmenteur ! Par sa faute, votre cul change de couleur. Brisons-là je ne cherche pas à vous torturer. Asseyez-vous de nouveau face à moi. Mais qu’est-ce là ? Votre culotte est trempée. En appuyant un peu on croirait qu’elle va s’enfoncer dans votre intimité. Maintenant si je pince le tissu tout en écartant les grandes lèvres, votre vulve est comme qui dirait coupée en deux.
    
    Il avait raison. Suzanne contemplait ce spectacle aussi grotesque qu’obscène. Il tira sur l’élastique de ce slip qui cisaillait son ...
    ... entrejambe et la fine soie frotta son clitoris. Elle gémit. Le notaire renouvela l’opération à plusieurs reprises provoquant les sensations les plus délicieuses.
    
    — Il faut que je dégage votre sexe. Je vais tout replier du même côté.
    
    Il procéda ainsi, repoussant le tissu contre le haut d’une cuisse, dévoilant ainsi tout à la fois les petites lèvres, l’orifice et le capuchon du clitoris, sans avoir à retirer la délicate pièce de lingerie.
    
    — Vous êtes plus ouverte que la dernière fois, les petites babines s’écartent et laissent passer la douce écume, ce qui me fait penser que nous avons oublié un test lors de notre dernier entretien. La passivité de votre mari s’explique peut-être par le goût. Je dois absolument déguster la chose pour en avoir le cœur net.
    
    Sans attendre que Suzanne réagisse, il colla sa bouche sur son con. Elle poussa un cri de surprise.
    
    — Laissez-vous aller.
    
    Ecartant les lèvres de ses doigts, il chatouilla son clitoris avec sa langue.
    
    — Délicieux, absolument délicieux. Décidément, nous ne trouverons jamais ce qui cloche.
    
    — Maître, protesta Suzanne, vous devez-vous arrêter. Je crois bien que vous allez me faire jouir.
    
    Mais il était déjà trop tard. Un intense plaisir se propagea dans son ventre, culminant dans un orgasme voluptueux. Quelques instants Suzanne crut qu’elle avait perdu la tête. Au moment de retrouver ses esprits elle constata avec effroi que la bite de Me Mulatier avait jailli hors de son pantalon.
    
    — Oh mon Dieu ! Elle est ...
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