1. Suzanne et les hommes (4)


    Datte: 24/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... escompté sur votre mari ?
    
    Suzanne soupira.
    
    — Samedi soir Romuald travaillait devant son ordinateur. Je lui ai dit que j’allais me coucher. Une fois levé, j’ai commencé à me déshabiller devant lui. Je portais les sous-vêtements noirs, sans doute les plus discrets, mais tout de même j’étais en bas et en porte-jarretelles et il faut que je vous dise, le tissu ne cache pas grand-chose, j’étais presque nue. Eh bien ! le croirez-vous ? Il a fait comme si de rien n’était et m’a dit qu’il devait finaliser sa réponse à un appel d’offre mais qu’il me rejoindrait bientôt. Je l’ai tant attendu que j’ai fini par m’endormir. Il m’a mise dans une colère noire !
    
    Il parut réfléchir quelques instants puis reprit sur un ton faussement détaché :
    
    — Voilà qui est étonnant. Une superbe jeune femme en sous-vêtements coquins s’offre à lui et ce garçon, pourtant dans la force de l’âge, se refuse à la satisfaire. Je veux connaitre le fin mot de cette énigme. Voyons… J’ai l’intuition que vous portez d’autres dessous chics aujourd’hui.
    
    Il savait. Oui, bien sûr, il savait. A sa très grande honte, Suzanne devait admettre que ce matin elle s’était habillée pour lui, pour provoquer le notaire. Comme s’il en avait besoin !
    
    Il reprit :
    
    — Si je pouvais les voir sur vous, je jugerais de l’effet produit. Nous discuterions ensuite de la thérapie à appliquer à votre couple. Procédons comme la dernière fois, commencez par retirer votre chemisier.
    
    Tout doucement, Suzanne commença à ...
    ... dégrafer les boutons. Elle portait la brassière grise.
    
    — Superbe ! s’exclama-t-il. Un écrin rêvé qui met en valeur votre poitrine en soulignant ses courbes. Je ne peux résister à l’envie de vous câliner, laissez-moi vous consoler…
    
    Il passa plus de temps que la fois précédente à s’occuper de ses seins, caressant, palpant, suçant longuement et goulument, pinçant et tordant les pointes. L’excitation de Suzanne ne cessait de grandir devant ce traitement.
    
    — Relevez votre jupe que je vois le slip.
    
    Rien qu’à effectuer ce geste simple, son bas ventre la titillait. Ses grandes lèvres se gorgeaient de sang, son clitoris émergeait de son capuchon et elle mouillait par avance.
    
    — Tournez-vous. Oh, quel ravissant spectacle, comme c’est beau. Quel idiot, ce mari ! Si ce fessier le laisse de marbre nous ne pouvons plus rien pour lui.
    
    Suzanne réalisa que le tissu était si transparent qu’il pouvait voir au travers les deux lobes et le sillon qui les séparait. Seule restait cachée la tâche brune de l’anus.
    
    — Je suis une vilaine fille, voyez-vous. Très vilaine. Je n’ai pas cessé de penser à ce que nous avons fait. J’ai résisté à l’envie de me toucher.
    
    — Dites-moi, votre mari vous a-t-il déjà punie ?
    
    — Non, quelle drôle d’idée !
    
    — Pensez-vous que cela soulagerait votre conscience si je vous corrigeais un peu ? Oh trois fois rien, quelques tapes sur le postérieur.
    
    A ces mots, Suzanne sentit qu’une digue avait lâché entre ses cuisses. « Mon Dieu, pensa-t-elle, il va ...
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