1. L'auberge (2)


    Datte: 23/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... la commande, se met à onduler et le plaisir la gagne.
    
    — Tu vois que tu commences à aimer, belle pouliche. Putain, je vais même jouir.
    
    Il se retire, s’achève sur le cul de Patricia qui reste sur sa faim. Elle sent ce liquide tiède venir éclabousser et ses reins et sa croupe. La femme se jette dessus, lèche tout ce qu’elle peut en branlant le con de Patricia. Patricia qui explose sans ne plus rien comprendre à son corps. Sa tête fait encore de la résistance.
    
    La femme qui, gardant du foutre dans sa bouche, vient retirer le mors et embrasser une Patricia qui ne refuse pas ce baiser. La femme lui envoie tout ce qu’elle a récupéré de sperme. Patricia prend goût à ça. Elle toussote pourtant. La femme se glisse à nouveau derrière Patricia. Elle lèche la cramouille de la (prisonnière).
    
    — Alors ma belle, tu te sens plus docile, pas vrai ?
    
    À bien quelque kilomètre de là, Pascal, très nerveux, était dans un garage. Les nouvelles n’étaient pas bonnes. Le garagiste lui expliquait :
    
    — C’est cette petite pièce, elle a cassé net. Impossible de la réparer. Il en faut une nouvelle.
    
    — Et ça va prendre combien de temps ?
    
    — Ben c’est que par ici, on est loin de tout. Va bien falloir attendre demain. Et encore, si tout va bien.
    
    — C’est gai ! Vous avez le téléphone ?
    
    — Dans mon bureau.
    
    Patricia est maintenant soulevée par ses bras. Ses pieds ne touchent plus le sol. Et l’aubergiste de lui apprendre :
    
    — Maintenant que tu as joui, il te faut apprendre à souffrir. ...
    ... Par la même occasion, nous allons t’apprendre à obéir à toutes nos demandes. C’est elle qui va commencer ton éducation. Si je peux un conseil, plus vite tu comprendras qu’ici est ton plaisir, plus vite tu te montreras docile, moins tu souffriras. Vas-y ma belle, sois méchante.
    
    — Et inutile de crier, y a pas une maison à moins de trois kilomètres, ajoute celle qui va tourmenter Patricia.
    
    — Si, faut qu’elle gueule... qu’elle crie... qu’elle nous supplie... vise son cul... fais-là gueuler... putain, c’est bon de l’entendre nous supplier... ouiii, son cul... plus fort...
    
    Et vlan, dans son cul, Patricia reçoit un douloureux coup de martinet. D’autres suivent à une cadence folle. Très vite, Patricia sent son corps devenir plus brulant que de la lave. Rapidement son corps n’est plus que douleur. Et les coups continuent à pleuvoir sur sa croupe. Elle a beau crier, supplier, rien n’y fait, elle est violentée. Quand la femme pose le martinet, caresse le sexe de Patricia, Patricia hurle de plaisir. Elle hurle si fort qu’elle en vient à clamer :
    
    — Encore, j’en veux encore. Fouettez-moi mes Maîtres.
    
    L’aubergiste soulève une jambe de Patricia, y enfonce son sexe dans ce lui baveux de la (suppliciée). Patricia de jouir encore.
    
    À la réception de l’auberge, le téléphone ne cessait de sonner. En colère, Pascal ne parvenait pas à comprendre que personne ne décroche ce maudit téléphone. Il avait beau recomposer le numéro, mais rien ni personne ne décrochait.
    
    Dans une chambre, ...