L'auberge (2)
Datte: 23/04/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
Patricia essaie d’arracher ce gode de ce cul sans y parvenir. Toutes ses tentatives restent vaines.
— Je peux pas... non ça ne veut pas venir. Faut que je trouve de l’aide.
Patricia quitte précipitamment cette chambre. Elle court dans le couloir et ouvre la première porte qui se présente.
Stoppée dans son élan, sur un lit, un homme tenant une chaîne qui va jusqu’au cou d’une femme nue qui le suce. Elle s’excuse :
— Désolée... je crois que je me suis trompée de chambre.
— Approche et viens aider ma salope à me sucer !
Elle sort de la chambre en refermant la porte. Sa course continue, Patricia ouvre la porte suivante.
— Et, mais !!! C’est comme si j’étais dans un cube, je tourne en rond.
Devant elle, une femme est attachée en croix, le corps recouvert de pinces, son corps ondule en voyant Patricia. Celle-ci fait demi-tour et fuit encore, appelant Pascal à la rescousse. L’aubergiste la retient par le bras et lui dit sur un ton paisible :
— On se calme, mademoiselle.
— Oh... mais comment...
— Vous semblez si désemparée de ne pas trouver votre chambre et pourtant, celle-ci est juste là. Voyez par vous-même.
L’aubergiste ouvre une porte et oh stupeur, c’est la chambre. Nu sur le lit, Pascal dort comme un bien heureux. Confuse, elle remercie l’aubergiste et s’engouffre dans la chambre, fermant même la porte à double tour. Elle se sépare de sa nuisette trempée comme de sa culotte tout aussi détrempée. Nue, elle se couche, une main sur la poitrine ...
... de Pascal. Un peu avant que ses yeux se ferment, elle pense encore : « C’était juste un mauvais rêve. Ça n’existe pas. Enfin, mauvais rêve, c’est plus un méchant cauchemar... » et Patricia s’est endormie.
Au matin, après une bonne douche, elle rejoignait Pascal qui déjeunait paisiblement. Elle n’osa lui raconter son cauchemar. Elle avait bien trop peur de se rendre ridicule.
— Ma chérie, va falloir que je trouve un garagiste pour réparer la voiture.
— Fais vite alors.
— T’inquiète, je ne pars pas en guerre.
— Je sais, mais j’ai peur.
— Tu n’as qu’à rester dans la chambre.
Pascal devait disparaître sur la route qui longe cette rivière.
Patricia voulait en avoir le cœur net. Et au lieu d’obéir à son amant, elle se laissait gagner par la fièvre de sa curiosité et visitait plus ou moins discrètement l’auberge. Quelque part, elle voulait savoir, connaître, peut-être même vivre, mais rien n’était encore précis dans sa tête.
Elle ne tardait pas à trouver une pièce ouverte avec un salon. Le tout était soigneusement recouvert de draps blancs. Près de ce qui semblait une malle, elle se baissait, relevait le drap et arrivait rapidement à la conclusion qu’elle n’avait pas fait un mauvais rêve. Dans sa tête, quelque part, elle voudrait vivre ce qu’elle avait découvert, vu et bien involontairement participé. Son corps lui, il voudrait connaître, subir.
— Bonjour, jeune fille... je vois que vous avez trouvé.
L’aubergiste se tenait derrière elle, dans une robe ...