1. Le stagiaire


    Datte: 22/04/2023, Catégories: fh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail grossexe, grosseins, poilu(e)s, ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, préservati, pénétratio, Humour Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... me suis retrouvée allongée sur la table avec la jupe relevée, le chemisier ouvert et le soutif retiré… il était très pressé, et moi aussi.
    
    Il avait sorti un préservatif qu’il a enfilé sur son engin frénétiquement en s’y reprenant à trois fois… mon Dieu qu’il était grand ! Pas étonnant que ça ait du mal à rentrer…
    
    Pourtant, il est venu en moi très facilement. Il faut dire que j’étais tellement mouillée…
    
    Il était gros… très gros ! Je le sentais aller très loin, tellement loin que je me disais qu’il aurait pu faire mal à une femme plus jeune.
    
    Lorsqu’il a commencé les choses sérieuses, il m’a secoué tellement fort que je sentais mes bourrelets ballotter partout. Mes seins voyageaient tellement qu’ils me frappaient la figure à chaque passage. Nous avons joui tous les deux en même temps, lui dans moi et moi dans toute la pièce, et même peut-être dans toute cette partie de l’étage. Heureusement que personne n’était à proximité…
    
    Après cette expérience intense, nous avons repris le chemin du train, chacun de notre côté pour ne pas éveiller les soupçons.
    
    Bon, il était beau, il baisait bien, et il était sacrément bien équipé ! Mais ce n’était pas pour autant que je voulais faire le voyage avec lui. J’avais aussi mes petites habitudes et j’entendais bien continuer à pouvoir dormir ou regarder ma série tranquille.
    
    Alors nous avons convenu d’un petit stratagème qui pourrait se reproduire à chaque voyage. Le deal était qu’il irait s’asseoir un peu plus loin, pile ...
    ... dans l’axe de ma jupe, et qu’il aurait le droit de profiter du spectacle que je ne manquerai pas de pimenter en croisant et en décroisant les jambes, d’autant que je n’avais plus de culotte. Le train était suffisamment peu rempli pour qu’il puisse être le seul spectateur.
    
    J’avoue que ça a très bien fonctionné. Nous avons répété ce petit jeu tous les matins et tous les soirs…
    
    Tous les matins, il découvrait ma nouvelle petite culotte, et dans la journée il trouvait un moyen de me la retirer.
    
    C’était souvent dans l’ascenseur entre deux étages, il appuyait sur le bouton « stop », me la dérobait d’un geste habile et la gardait dans sa poche. Et moi je passais tout le reste de la journée toute nue sous ma jupe.
    
    Nous avons aussi renouvelé plusieurs fois l’expérience de la réunion dans cette salle à part, jusqu’au jour où j’ai eu une « vraie réunion », tout ce qu’il y a de plus sérieuse, avec mon chef et toute son équipe dans cette même salle. Je me souviens très bien avoir eu beaucoup de mal à me concentrer, mon attention étant captée par un de mes poils de foufoune qui était resté collé sur la table juste à l’endroit où se trouvaient les mains de mon chef. Le pauvre, s’il avait su que, quelques heures plus tôt, j’étais en train de me faire tringler précisément à cet endroit…
    
    Après ça, il n’était plus question de baiser au boulot ! Trop dangereux !
    
    Mais tous les tiroirs ont une fin, et celui de mes culottes aussi. Forcément, il ne me les rendait jamais. Lorsque j’ai ...
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