1. Le projet artistique (38)


    Datte: 21/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... commenta la femme.
    
    — Vous croyez ?
    
    — Mais bien sûr mon gendre. Ces jeunes...
    
    — Justement, c’est quand on est jeune qu’il faut profiter de la vie.
    
    — Parce qu’à mon âge, on ne pourrait plus ?
    
    — Mais si bien sûr que si. D’ailleurs, c’est pour ça que nous sommes là.
    
    Le marié plaqua soudain ses mains sur les seins de sa belle-mère. C’était une femme, la cinquantaine, encore belle et svelte, élégante. Lui était plutôt pas mal aussi. Grand, athlétique, beau gosse pour résumé. Amandine s’était demandé ce qu’il faisait avec sa femme. Avec Maxime, ils avaient un début d’explication.
    
    — Alors comment avez-vous trouvé ma fille dans sa robe ?
    
    — Elle était aussi bien qu’on pouvait l’espérer, dit-il.
    
    — Elle était tarte, vous voulez dire. Mon Dieu quelle robe !
    
    — J’ai dit aussi bien qu’on pouvait l’espérer. Je n’en attendais pas beaucoup mieux de sa part. Mais bon, les goûts vestimentaires, ça se corrige. Et ça aussi, dit-il en palpant de nouveau la poitrine de la quinqua.
    
    — Oui, ils sont réussis, n’est-ce pas ?
    
    — Oui. D’ailleurs, cela fait longtemps que je ne les ai pas goûtés.
    
    — Alors qu’attendez-vous ?
    
    Le marié tira sur la fermeture éclair de la robe, dévoilant ses épaules puis sa poitrine. Cette vieille salope ne portait pas de soutien-gorge. Amandine mata ses seins qui étaient gros, comme ceux d’Elisa, mais qui faisaient vraiment faux et bas de gamme. Ils étaient trop ronds, trop haut perchés et trop écartés. Elle se trouva bien contente de sa ...
    ... poitrine naturelle. Maxime aussi n’aimait pas trop le résultat.
    
    — Je préfère les tiens, lui chuchota-t-il à l’oreille en prenant en main l’un des seins d’Amandine.
    
    — Moi aussi. Continue.
    
    Le jeune homme continua de lui palper le nichon tout en épiant les deux amants. Ceux-ci avaient avancé. Il tétait les nichons refaits de sa belle-mère et avait passé une main sous sa robe. Il devait lui tripoter le con. Elle, de son côté, avait extirpé la bite de son gendre et le branlait habilement.
    
    — Alors ma fille vous branle-t-elle bien ?
    
    — Moins bien que vous, mais elle progresse. Tout n’est pas perdu pour la faire à votre image.
    
    — Quelle image ?
    
    — Mais celle d’une bonne salope.
    
    — Oh mon gendre. Que dites-vous là ? Oh oh oh oui, continuez.
    
    — Mais je dis la... la vérité.
    
    — Alors qu’attendez-vous pour baiser votre salope de belle-mère ?
    
    Il ne répondit pas, mais retourna la femme, lui souleva la robe et descendit collant et sous-vêtement. Il se mit en position et la pénétra d’un coup sec. Puis le marié commença ses va-et-vient. Amandine et Maxime n’en perdaient pas une miette. Amandine branlait son copain qui avait sorti sa bite. Lui, il lui titillait son bouton de plaisir ou lui rentrait un doigt dans le vagin. Assis et camouflés par les rangées de chaises, ils pouvaient voir sans être vus, à condition de ne pas faire de bruit. Ils étaient très excités par la situation. Devoir être silencieux malgré la main de l’autre qui le caressait était un supplice divin. ...