1. Le projet artistique (38)


    Datte: 21/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... décolla enfin. Il y eut plus de bruit, de discussions, de rires. La soirée dansante commença, les deux jeunes allèrent sur la piste un moment, mais vraiment c’était de la musique pour leurs parents ou grands-parents. Ils quittèrent la piste et cherchèrent un coin tranquille. Ils retournèrent dans le couloir où ils avaient surpris les deux ados, mais il n’y avait personne. Ils s’assirent sur la banquette, mais ils avaient du mal à se parler. Ils recommencèrent leur tripotage de tout à l’heure. Amandine était dos à la salle, Maxime pouvait facilement voir si quelqu’un approchait. Il passa sa main dans le décolleté de sa copine et lui pétrit les seins. Elle, elle avait ouvert la braguette de son pantalon et lui massait la queue. La soirée avançant, il y avait plus de passage. Ils étaient moins tranquilles. Ils se levèrent et allèrent plus au fond du couloir. Ils s’aperçurent qu’il y faisait un coude à droite sur trois portes.
    
    Celles de gauche et du fond étaient fermés, mais celle de droite était ouverte. Ils entrèrent, il n’y avait personne. C’était un local dans lequel les nappes, des tables et des chaises étaient entreposées. A peine furent-ils entrés que Maxime retourna Amandine vers lui pour l’embrasser. Elle se débattit et s’échappa en riant. Maxime partit à sa poursuite, ils tournèrent autour des tables et des chaises, des piles de nappes. Il finit par la rattraper par le bras, mais elle voulut se libérer en le tirant violemment. La prise de Maxime était trop forte, ...
    ... il ne lâcha pas. Mais cela leur fit perdre l’équilibre et ils tombèrent par terre entre deux rangées de chaises empilées.
    
    — Aïe, cria Amandine.
    
    — Ouch, souffla Maxime.
    
    — Mon genou ! J’ai mal.
    
    — Ça va ?
    
    — Non !
    
    — Attends je regarde.
    
    Maxime aida Amandine à s’asseoir au sol et inspecta ses genoux. Le droit n’avait rien, mais le gauche saignait un peu. Et le collant était bien déchiré à ce niveau-là. Ils allaient se relever pour chercher de quoi soigner ce bobo quand la porte s’ouvrit, les deux ados entrèrent dans la pièce. Ils se galochaient comme tout à l’heure, ils devaient chercher un peu d’intimité. Ils avancèrent un peu dans la pièce. Le garçon plaqua la fille contre une table et ils se roulèrent un patin. Apparemment, ils tentaient de reproduire ce qu’ils avaient vu chez Amandine et Maxime. Puis les ados prirent des libertés et tentèrent maladroitement d’accéder à de nouveaux territoires. Une main remonta sous la robe, une autre palpa la bosse du pantalon. Ils étaient partis pour aller plus loin quand le marié et sa belle-mère firent irruption. Ils allumèrent la lumière et virent les jeunes qui eurent tout juste le temps d’enlever leurs mains.
    
    — Oh, les jeunes restez pas là. C’est pas un salon qui nous est ouvert, leur dit le marié.
    
    — Allez, ouste, rajouta sa belle-mère.
    
    Les deux ados partirent sans demander leur reste, bien contents de ne pas s’être fait surprendre en position plus délicate.
    
    — Je crois que nous les avons arrêtés à temps, ...