Maggie, Maman et Moi (1)
Datte: 21/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... trois fois, avec lui. Nous avions l’un et l’autre une petite érection de garnements désobéissants...
Plus tard, nous n’en avions jamais reparlé. Un peu de honte, peut-être? D’ailleurs, je l’avais même oublié...
Je me suis levé, j’ai dit, " je dois partir, je ne veux pas vous déranger. Elle a dit d’un air contrit, je t’ai choqué en t’avouant mon secret. Pardon.
J’ai répondu, je vous remercie de votre franchise... Si seulement j’avais pu avoir la vôtre...
— Que veux tu dire?
— Oh c’est moi qui risque de vous choquer, à présent... Mais après tout... Je me suis rassis sur le siège. Je peux me resservir un verre de liqueur?
— Madame Maggie, j’avais envie de vous voir, c’est difficile à résumer... Je crois que c’était pour confronter le présent aux souvenirs de mon adolescence. Puisque vous avez parlé de fantasme, et je prends le risque à mon tour de vous choquer... Ce n’était pas mon intention d’en parler... Mais.... j’ai toujours rêvé que vous seriez la femme qui m’initierait à l’amour. Quand j’étais ado, je venais chez vous le dimanche matin. Vous me disiez bonjour, on se faisait la bise vous aviez une petite eau de Cologne qui sentait le frais. Vous me demandiez comment j’allais, j’avais l’impression que vous parliez encore au gamin que vous aviez gardé parfois. Vous approcher me faisait un effet terrible, je n’osais pas, je ne savais pas comment dire à une femme qui avait l’âge d’être ma mère, que je me masturbais au moins un jour sur deux en pensant à elle. ...
... En pensant à VOUS.
Je m’imaginais chaque dimanche le courage de vous l’avouer. L’instant d’après, je craignais que vous m’éclatiez de rire au nez. Alors je ne disais rien. Une fois j’avais sonné un dimanche, vous m’aviez ouvert en chemise de nuit, vous étiez un peu souffrante... Mais ce jour-là j’avais vu vos seins. Vous aviez des aréoles si larges. Vous portiez une culotte noire sous cette chemise de nuit simple mais transparente. Vous aviez fait comme si de rien n’était, comme si c’était normal. Je m’étais dit, elle se fiche bien que je la voie ainsi. Je suis juste comme un de ses fils, pour elle.
A partir de ce souvenir, je rêvais qu’un jour ma braguette soit ouverte sans que je m’en soit aperçu. Vous constatiez mon érection. Amusée, vous me disiez "qui te fait donc cet effet là? C’est moi?" J’imaginais alors que vous faisiez jaillir mon sexe dur de cette braguette. Vous me masturbiez d’une main froide mais sensuelle. Je ne mettais pas une minute à éjaculer entre vos doigts. J’en avais honte. Vous m’essuyiez avec un sopalin, en commentant d’un ton malicieux quelque chose comme "eh bien! C’était une grosse envie, dis donc... Une autre fois, je m’occcuperai de toi un peu mieux, si tu veux. Mais ne dis rien à ta maman. Ce sera notre secret". Evidemment, rien de tel ne s’est jamais produit.
— Voilà, madame Maggie, vous me parliez en confidence? Je vous fais la mienne: vous désiriez ma mère? Et moi j’avais envie de vous.
... Et finalement nous n’avons été exaucés, ...