1. Série « Les voisins » Épisode 12 : « Monique » se fait baiser par le papy qui parvient même à la sodomiser.


    Datte: 20/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... connu un tel degré d’excitation, sa tête était redescendue sous ma robe, il passa ma jambe droite au-dessus de son épaule afin d’avoir un meilleur accès à mon intimité. Le papy démontrait tout son savoir mettant mon clitoris à l’épreuve pendant qu’un de ses doigts se glissa dans ma fente. Je n’en pouvais plus, j’avais le feu au ventre, je bouillonnais de l’intérieur. Le désir fut si fort que je jouis, c’était tellement bon, de sentir ses savants coups de langue et ses doigts fouiller ma chatte inondée.
    
    Décidément mon papy de 85 ans avait une imagination débordante, je fus surprise lorsqu’il me demanda de me retourner et de poser mes mains sur la quatrième marche de l’escalier, lui offrant ainsi mon derrière. Dans mon dos, il défit sa ceinture puis descendit le zip de sa braguette. Oh, ce voisin que je prenais pour un homme plein de sagesse s’apprêtait à me faire l’amour. Comment aurais-je pu penser que cela puisse m’arriver ? De ses mains expertes, il passa ses doigts entre mes fesses et ils glissèrent tout seuls dans mon vagin trempé de jouissance. Son autre main se mit à me titiller le clitoris à nouveau, mais avec beaucoup plus d’ardeur. Mon désir remontait à grands pas, ma cyprine recommençait à s’écouler de ma fente.
    
    Ces deux doigts à l’intérieur s’enfoncèrent de plus en plus forts, dans tous les sens. Il ne se contrôlait plus et de mon côté, j’avais tellement envie qu’il me prenne, de sentir son gros sexe dans mon ventre que je tendais mes fesses. Il venait de ...
    ... retirer sa main et d’un seul coup, je ressentis son sexe glisser entre mes cuisses. Avec une agilité déconcertante, il approcha son gland entre mes grandes lèvres, poussa doucement et enfonça sa longue verge profondément. N’ayant pas fait l’amour depuis dix ans, ma chatte était très serrée, emprisonnant son pénis qui me remplissait le vagin.
    
    J’étais un peu hésitante au début, mais c’était si bon que je me mis au diapason en me penchant un peu plus en avant. Enfoncé jusqu’à la garde, il entama des vas et viens, c’était un plaisir immense, les mains posées sur mes hanches, il me pénétrait alors avec une grande fougue, à chaque coup de boutoir, je poussais mon cul vers sa queue afin qu’il aille encore plus profondément dans mon ventre. Nos corps s’emboitaient encore mieux, c’était exquis de ressentir son gros pénis, jamais je n’avais connu cela avec les douze centimètres de mon défunt Bernard. Après de nombreux coups de reins, le plaisir commençait à me faire gémir de plus en plus fort, il accéléra et devint telle une bête sauvage, il me possédait sans vergogne.
    
    Nous étions là, en train de baiser comme deux jeunes dans l’escalier de l’entrée. Je sentais bien son sexe coulisser dans tous les recoins de mon vagin. Il se remit à me caresser le clitoris, j’étais au bord de l’extase. C’était tellement bon que nous nous contrôlions plus, j’avais le feu en moi, j’allais une nouvelle fois jouir. Il m’attrapa sauvagement par les hanches et donna trois coups de boutoir. Son sexe était ...
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