1. Série « Les voisins » Épisode 12 : « Monique » se fait baiser par le papy qui parvient même à la sodomiser.


    Datte: 20/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Je m’appelle Monique, j’ai 69 ans, veuve depuis quatre ans. Dans l’épisode 11 de la série « Les voisins » du même auteur, je vous ai expliquai comment j’en étais arrivée à masturber mon voisin, un papy de 85 ans. N’étant pas du tout portée sur le sexe, j’avais déjà souvent masturbé mon mari Bernard pour échapper à la pénétration et lorsque je ressentais sur mes doigts le sperme qui s’écoulait, cela m’écœurait. Pourtant ce soir-là, avec mon papy, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir à le branler et lorsque Jean éjacula sa semence chaude sur ma poitrine, je me retrouvais dans un état d’excitation que je n’avais jamais encore connu.
    
    Lorsqu’il m’embrassa, je m’abandonnai dans ses bras, je ne pensais plus du tout à son âge, espérant qu’une chose qu’il éteigne le feu que j’avais dans mon ventre. Pourtant lorsqu’il me demanda d’aller le coucher, j’étais très déçue, je me doutais bien qu’il ne pourrait plus me satisfaire, son sexe était en berne. Une fois allongé sur le lit, il m’attira à lui, J’avais cru qu’il allait m’embrasser, mais pas du tout. Il me fit me coucher à côté de lui et passa ses mains entre mes jambes. Il cherchait ma petite culotte qu’il tira pour la faire descendre le long de mes cuisses.
    
    Très gênée, je voulais protester mais je n’en avais pas eu le temps et ni l’envie, il l’avait déjà retirée entièrement. Jean me regarda droit dans les yeux en me montrant ma petite culotte comme si c’était un trophée et sentit le tissu mouillé en disant d’un air ...
    ... cochon : « Je vois Monique que toi aussi ça t’a bien excité. Je vais te rendre la pareille ma chérie. » Par honte, je fermais les yeux lorsque sa tête disparue entre mes cuisses fouillant ma foufoune. Je ressentais sa respiration entre mes cuisses, avec ses doigts agiles, il écarta mes grandes lèvres. «?Oh, cette belle petite chatte?!?» Je me retenais de gémir, le papy savait ce qu’il faisait, le désir montait en moi.
    
    Et ce n’était que le début des hostilités, car dessous, Jean s’était mis à me lécher le clitoris. Je ressentis tellement de plaisir que je mordais les draps pour ne pas crier ma joie, je maudissais Bernard qui n’avait jamais insisté lorsque je lui refusais de me sucer. Puis lorsqu’il avait commencé à enfoncer son index dans ma fente, j’avais failli m’évanouir. Je couinais mon plaisir, mon papy me mettait à l’aise, il alternait ses caresses digitales avec sa langue sur mon abricot, pour le sucer avec un grand appétit.
    
    Je désirais qu’il poursuive, je ne voulais pas que cela s’arrête, c’était trop bon, j’enfonçais son visage contre mon pubis et je gémissais comme une folle. Au moment où le majeur rejoignit son index au plus profond de mon vagin pour un va et vient magique, j’avais mordu le tissu de l’oreiller, mes doigts crispées dans sa chevelure toute blanche, je sus enfin pour la première fois de ma vie, ce qu’était de jouir. Tout mon corps se trémoussait, je ne savais plus où j’habitais, tellement c’était fort. Mon papy était fier de lui, sa bouche était ...
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