Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (5)
Datte: 20/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: l'estello, Source: Xstory
... Je glisse les doigts sous son caleçon et je me saisis du petit chauve endormi. Je le masse vigoureusement pour l’éveiller et je profite de l’obscurité de la chambre pour repasser ma main entre mes cuisses et reprendre les caresses sur mon sexe avant que le soufflet ne retombe.
Ça y est, mon mari est dur. Il se laisse branler sans rien faire ou dire. Il est vrai qu’il n’est pas habitué à autant de « spontanéité » et il a bien le droit d’en profiter un peu. J’essaie de le masturber avec application et je continue à me masser le bonbon avec une telle efficacité que je ne peux retenir un petit cri de plaisir. Mon pauvre naïf de mari s’imagine que c’est de toucher son pauvre membre qui me met dans cet état : « Elle te plaît hein ? Tu as vu comme elle est dure pour toi ?... »
Mais tais-toi donc ! Je ne peux tout de même pas t’avouer que ce qui m’excite c’est de penser à ton beau-fils en ayant la main entre les cuisses !
Alors pour ne pas prolonger éternellement le mensonge et me rajouter un peu plus de culpabilité sur les épaules, je décide qu’il faudra que cela aille vite. Je me relève et fais glisser ma culotte en vitesse. Je ne retire pas mon tee-shirt, il n’aura pas le temps de s’intéresser à mes seins. Je décide de le l’enjamber, et je saisis son sexe pour le diriger vers ma grotte lubrifiée, bien qu’il ne soit pas à l’origine de cette humidité. Je glisse le long de son membre, mais ses « oh oui mon Amour, ah je t’aime bébé... » m’empêchent de me concentrer sur des ...
... images mentales de Jordan me pénétrant. Mon excitation est un peu retombée, mais je veux faire ça bien jusqu’au bout. Je m’active au-dessus de lui, montant et descendant au-dessus de ses hanches. Il a l’air d’aimer ça, il gémit et râle tout en s’agrippant à mes hanches larges.
Je continue à m’empaler profondément sur lui tout en remuant le bassin d’avant en arrière, pour le stimuler au maximum et mettre fin à ce simulacre de désir partagé.
Je touche au but, ses phalanges se resserrent sur le haut de mes cuisses, ses muscles se tendent. Il redresse deux ou trois fois son bassin comme pour propulser sa semence au plus profond et à la suite d’un long soupir, son corps se relâche soudainement de tout son poids sur le lit.
L’homme est heureux, l’homme est satisfait. Sa virilité a été flattée, ses bourses sont vides, il va pouvoir plonger dans son sommeil et bien démarrer sa semaine de travail.
Quant à moi, je n’ai qu’un souhait, dormir. Pour oublier que je triche avec mon mari, pour oublier qu’il ne me donne pas envie, pour oublier que Jordan n’est pas là et que je ne sais pas quand je le reverrai.
La semaine démarre pour moi dans une grande lassitude. Je suis en vacances, mais je suis seule et l’unique personne avec qui j’ai envie d’être est aussi celle que je déteste le plus au monde, encore davantage lorsqu’elle ne me témoigne plus d’intérêt et ne daigne pas me donner de nouvelles.
Lundi, mardi, mercredi sont d’un ennui mortel, j’ai l’impression que ma vie est ...