1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (5)


    Datte: 20/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... brûle d’envie de savoir quand il arrivera. Je suis sûre qu’il n’est pas avec ma fille puisqu’elle travaille, alors je ne prends pas un grand risque à lui envoyer un SMS.
    
    — Il parait que tu viens dormir à la maison ce soir, je dois te compter pour le repas ?
    
    Un peu sec comme approche, mais après tout, il ne m’a pas donné signe de vie et je ne veux pas lui laisser croire que je suis impatiente de le revoir, même si c’est le cas.
    
    La réponse ne tarde pas.
    
    — Non, j’arriverais tard, en fin de soirée. Et M’man, tu peux te coucher tranquille, ce soir je dois m’occuper de ta fille, elle n’en peut plus la pauvre !
    
    Quel salaud, pourquoi me dire ça ? J’ai envie de lui répondre que moi aussi je n’en peux plus, qu’il est ignoble de jouer avec nous deux comme ça, que c’est un petit con et que j’ai bien envie de lui verrouiller la porte ! Mais je n’en fais rien, trop lâche, je me contente de lui répondre « OK ».
    
    Je traverse la soirée comme une ombre et après le repas, je monte me coucher afin d’être certaine de ne pas assister à l’entrée triomphale du jeune coq dans son poulailler. Pas un mot pour mon mari, pas même un regard pour ma fille que je jalouse pour la première fois et à qui je souhaite même une terrible et subite migraine avant de me raviser et de revenir un peu à la raison. Toujours est-il que je parviens à échapper à la situation en plongeant dans un profond sommeil, dans lequel je me cache plus que je ne me repose.
    
    Le lendemain, il me semble qu’il est ...
    ... encore très tôt lorsque j’entends la maison qui s’ébranle. La douche qui coule, des paroles, des pas lourds sur les escaliers. J’alterne les réveils et les micro-sommeils, et il me semble que la porte d’entrée claque deux ou trois fois. Je décide de me lever, ne sachant pas qui sera encore dans la maison, ni même s’il y aura quelqu’un.
    
    Je descends les marches d’escalier, prête à adopter mon rituel habituel, café, petit-déjeuner seule dans ma cuisine. Mais en passant devant le salon, surprise. Jordan est étendu sur le canapé, devant la télé. Je ne peux m’empêcher de lui jeter un regard noir, et aussitôt je reprends mon chemin vers la cuisine, sans lui adresser le moindre mot.
    
    — Bonjour hein maman ? Tu as mal dormi ou quoi ?
    
    Je sens une ironie jubilatoire dans sa voix, je ne lui réponds pas sous peine de péter complètement les plombs.
    
    — En même temps, je comprends que tu aies mal dormi... Avec le boucan qu’on a fait !
    
    Je bous intérieurement, mais je garde le silence. Il serait trop content que je lui hurle dessus. Je ne le regarde pas, mais je le soupçonne de m’observer discrètement alors je tente de rester impassible. Il garde un peu le silence, tel que je le connais afin de réfléchir à sa prochaine ignominie.
    
    — J’ai commencé par écarter ses cuisses et la goûter à pleine bouche (sale con), puis j’ai mis mes doigts dans sa chatte et c’est là qu’elle a commencé à crier, tu as dû l’entendre (je fulmine). J’aurais bien aimé qu’elle me suce, mais elle était trop ...
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