1. Une autre vie commence. (6)


    Datte: 20/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Faunus, Source: Xstory

    ... lisse. La position adoptée avait provoqué l’ouverture des grandes lèvres faisant apparaître les petites lèvres et le capuchon. Il l’entendit soupirer quand elle commença à se soulager. De voir le jet sortir de l’urètre l’émoustilla, il était ravi de cet intermède impromptu.
    
    - Merci beaucoup ma chérie. J’adore le spectacle que tu es en train de m’offrir. Je vais graver ces images dans ma mémoire. Tu es très belle, j’adore voir ton abricot ainsi ouvert.
    
    - Petit coquin, tu ne rates pas une occasion. J’ai été obligé de m’arrêter parce que j’ai laissé échapper une goutte. Je ne vais pas pouvoir remettre la culotte et je n’en ai pas de rechange.
    
    - Hum ! J’aime, j’adore cette idée. Tu vas avoir les fesses à l’air jusqu’à notre retour à la maison.
    
    Il la vit retirer complètement la culotte et d’un geste rapide s’en servir pour sécher son sexe. Elle le regardait en souriant tout en remettant en ordre sa tenue.
    
    - Essaie de penser à autre chose, la bosse qui commence à poindre indique que tu as des idées lubriques. En route !
    
    Une fois assis et sanglé, il avait replacé sa main dans la position qui était la sienne avant la petite étape. La jeune femme émit un rire tout en secouant la tête, mais elle ne s’opposa pas à la caresse. Il la regardait en souriant pendant qu’elle s’insérait avec précaution dans le flot de circulation. Charles se dit qu’apparemment beaucoup de gens avaient décidé de circuler dans la même direction qu’eux. Il aurait pu caresser le sexe nu, mais ...
    ... il se retint, il ne savait pas comment elle réagirait à ce genre de sollicitation. Il y avait un autre élément qui le poussait à être relativement sage ; son début d’érection. Il n’avait pas envie de se passer de son slip. Il la sentait détendue, le sourire qu’elle affichait en était la preuve. Lui aussi se sentait bien et heureux, il se laissait conduire tout en revoyant chacune des étapes depuis leur soirée au restaurant.
    
    - Mon chéri, comme tu as été bien sage, je vais te dire où nous allons.
    
    Cela faisait quelques minutes que la question lui brûlait la langue et il avait réussi à se retenir. Il s’était dit que cela faisait partie du jeu et qu’elle trouvait du plaisir à le faire mijoter à feu doux.
    
    - Je suis tout ouïe, ma petite chérie. Quel est le restaurant qui va avoir l’honneur de nous accueillir ?
    
    - Un restaurant ? Ha ha ha ! Non ! J’ai envie de manger une bonne cuisine familiale.
    
    - Nous allons donc dans une auberge ou une ferme, là je ne vois pas trop.
    
    Josiane après avoir ralenti et mis le clignotant avait tourné dans un chemin entouré par les bois. Ils étaient maintenant sur un chemin empierré et bien entretenu.
    
    - Quel est le meilleur endroit pour une cuisine familiale, sinon en famille ?
    
    - Tu ne veux pas dire que... ?
    
    - Mais oui mon amour, je nous ai invités chez mes parents.
    
    Charles se sentit gagné par la panique, oui, plus le temps passait et plus il sentait que les sentiments ressentis étaient réciproques. Il avait la bouche sèche, il ...
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