Séduction, amour et soumission (8)
Datte: 19/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... rapidement leur nombre comme leur intensité l’obligea à bouger comme pour les éviter. Les crochets se balançaient, les poids s’entrechoquaient. Ses pleurs n’eurent aucun effet. Ce ne fut que lorsqu’il n’y eut plus un centimètre de peau qui ne fut strié, zébré, rougi, que la punition cessa. Les poignets détachés, Linda resta immobile, geignant.
Dans cette position, sa maitresse retira le plug, j’avais devant mes yeux son cul offert, meurtri et dilaté. Et j’en avais envie, envie de le pénétrer, longuement.
Sixième vidéo : Linda agenouillée, les joues humides de ses larmes, son visage devant le sexe de sa maitresse écoutait :
-Alors qu’as-tu à me dire
-Merci maitresse de m’avoir punie, je le méritais.
-Penses-tu avoir été assez punie pour ce que tu as fait ?
-Je ne sais pas maitresse, c’est à vous de décider
-Ton cul n’est qu’à moi ; tu n’aurais jamais dû être pénétrée par une autre mais je t’épargnerai la dernière épreuve ce soir. Tu sais laquelle ?
-Oui maitresse merci.
-Lève-toi, viens m’embrasser.
Leurs bouches se mêlèrent ; lorsqu’une main se saisit du sexe de Linda, celle-ci eut un léger sursaut vite corrigé pour se laisser aller à la caresse. Les doigts de la maitresse pénétrèrent leurs bouches.
« Tu es mouillée comme une chienne hein ! »
« Oui maitresse, je suis votre chienne »
Les envois de Linda s’arrêtaient là. J’étais aussi perplexe qu’excitée même si cette excitation me faisait honte. Honte d’être la cause de ces sévices, ...
... honte d’être tout simplement excitée.
Je ne pus bien sûr refreiner une dernière caresse après une commande sur un site !
J’entamais ce lundi matin ma dernière semaine de stage. Mes vacances avec mes parents étaient déjà organisées, nous devions partir quelques jours après la fin de mon stage en Grèce pour trois semaines. L’idée de ne plus voir Marianne pendant tout ce temps me rendait triste. Il fallait profiter de nos derniers jours à Paris à commencer par ce dîner mercredi.
Au bureau nous nous apercevions, échangeant parfois un regard un sourire mais rien de plus. Nos rythmes les premiers jours de cette semaine étaient différents ; il nous fallut attendre mercredi.
Marianne
J’étais frustrée de ne voir Leyla que de loin, frustrée de ne pas la tenir dans mes bras, de ne pouvoir l’embrasser. Et puis la perspective de ne plus la voir de l’été me rendait folle. Je me rendis compte combien je tenais déjà à elle. Je crois qu’elle aussi partageait mes sentiments. Mais à 18 ans, un amour peut facilement en chasser un autre !
J’étais prête à me dévoiler, un peu, il fallait qu’elle aussi me parle.
Mercredi, le dîner
Marianne avait réservé sur la terrasse d’un grand hôtel ; la vue sur la Seine était époustouflante, entourée par la nuit, seule quelques lampions et des bougies éclairaient les tables. Elles avaient convenu que ce dîner ne serait qu’un dîner. Si la passion s’imposait, sans limites, dans l’intimité, Marianne comme Leyla savaient dompter leurs désirs ...