L'amie de Maman (8)
Datte: 16/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: CdM38, Source: Xstory
... cracha dedans encore, et encore, avant d’étaler sa bave sur tout le jeune visage. Bouleversée par ses sentiments, et même apeurée, Florence voulait aimer la jeune fille, mais d’une façon sauvage... presque brutale tant ces sentiments étaient exacerbés. Et même la briser. Pas uniquement sexuellement comme Gwen, mais mentalement. La reformater pour qu’elle lui appartienne entièrement, qu’elle la considère comme sa mère. Et paradoxalement, l’amour qu’elle ressentait était si puissant qu’elle voulait la malmener, tester ses limites, voir ce qu’Emeline pouvait endurer. Armant son bras, elle gifla Emeline, pas très fort, mais suffisamment pour faire rougir une joue.
— Salope ! Prends ça salope ! Tu n’es qu’une traînée, une chienne ! Mais ma chienne à moi, ma fille de chienne ! Ma pute de fille !
Emeline vacillait sous les gifles, mais elle aussi se sentait étonnamment bien paradoxalement. La douleur des gifles apaisait son esprit et elle comprit que telle était sa place désormais. Une soumise, sans volonté autre que satisfaire sa maîtresse... enfin sa nouvelle maman plutôt. Se sentant toutefois plus libre qu’avant, Emeline se prit au jeu de Florence et voulut voir jusqu’où cette dernière comptait aller.
— Oui maman ! Je suis ta catin de fille, ta traînée ! Tu m’as élevée pour que je sois ta pute ! Je suis toute à, toi vas-y ! Fais-moi mal maman ! Brise-moi !
Florence redoubla d’ardeur, et ne stoppa ses gifles que quand elle vit Emeline presque tourner de l’œil. Mais ...
... son accès de rage sexuelle ne s’était pas dissipé, bien au contraire. Les paroles de sa fille l’avaient renforcée, et elle voulait posséder ce jeune corps gracile. Elle poussa violemment Emeline hors du lit, la faisant tomber au sol dans un gémissement. Puis elle se leva, l’agrippa par les cheveux, et la traîna à travers l’appartement. A moitié étourdie, Emeline suivait tant bien que mal. Arrivées dans la salle à manger, Florence plaqua Emeline sur la table, sur le dos. Elle s’empara de cordes et lui lia les membres aux pieds de la table. Elle serra si fort qu’Emeline ne pouvait même pas bouger. Puis Florence se harnacha d’un gode ceinture d’un diamètre volumineux et sans préliminaires, l’enfonça directement dans le vagin d’Emeline. Celle-ci cria de douleur à l’intromission. Même si elle mouillait, sa jeune chatte récemment déflorée n’était pas encore très souple.
Et Florence n’en avait cure à ce moment-là, elle la pilonna avec hargne, lui giflant les seins, lui crachant dessus, l’embrassant également sauvagement alors qu’Emeline gémissait sous les puissants coups de boutoir. Puis lassée, Florence délia Emeline et l’amena dans une autre pièce où des menottes pendaient du plafond. Florence y rattacha sa nouvelle fille, lui banda les yeux et s’empara d’un fouet. Le premier coup qu’elle assena dans le dos d’Emeline fit hurler la jeune fille (heureusement, la pièce était insonorisée sinon tout le quartier aurait appelé la police !).
— Maman ! Stop, je t’en prie ! Ça fait trop ...