1. L'amie de Maman (8)


    Datte: 16/04/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: CdM38, Source: Xstory

    ... veux te dire ma chérie, c’est que je ne peux nier ce que je ressens. Je sais que c’est très rapide, et Dieu sait que je ne croyais pas au coup de foudre, et que je te l’ai reproché pas plus tard qu’hier. Mais je... je t’aime Emeline...
    
    La jeune fille ressentit un électrochoc en entendant ses paroles. Son cœur se mit soudainement à tambouriner dans sa poitrine. Avait-elle bien entendu ? Se retournant, elle plongea son regard dans celui de Florence et vit clairement que Florence n’exagérait pas. Prenant l’initiative, Emelinel’embrassa avec passion.
    
    — Moi aussi Maîtresse, je vous aime, je vous aime tant, souffla-t-elle entre deux baisers alors qu’elle ne pouvait plus s’arrêter.
    
    — Calme-toi ma chérie, dit Florence en rigolant. Je n’ai pas fini. Ce qui est étrange, c’est que l’amour que j’ai pour toi est différent de celui que j’ai eu dans mes autres relations. Il est plus... maternel, pourrait-on dire. Je n’ai pas d’enfant, mais je sens cet... cet instinct de protection... et ces bouffées de chaleur en te voyant, l’envie de te garder auprès de moi en permanence. Et à cela s’ajoute ce désir sexuel hors norme qui embrase mon entrejambe dès que je te vois. Je te veux entièrement Emeline, je veux ton corps et ton cœur. Je veux t’aimer, te voir jouir, mais en même temps te dresser, faire de toi une bonne petite soumise, une dépravée, sans aucune pudeur et sans tabous. Mais à moi. Exclusivement.
    
    — Ordonnez Maîtresse, répondit Emeline, émue par ces paroles. Je suis toute ...
    ... à vous, je vous appartiens.
    
    — Je le sais ma chérie. D’ailleurs, je vais te faire une proposition. Ce terme de Maîtresse ne me convient plus compte tenu de mes sentiments pour toi. SI tu es d’accord, j’aimerais que tu m’appelles autrement. Tu es bien sûr libre de refuser, car cela peut paraître bizarre...
    
    — Dites-moi Maîtresse. Enfin...
    
    — J’aimerais que tu me tutoies déjà, cela sonnera mieux. Et que tu m’appelles... Maman.
    
    Emeline resta un peu abasourdie, d’autant que l’image de sa mère véritable apparut dans son esprit en tête et grands dieux, si elle savait ce que sa fille était devenue ! Mais en voyant le puissant amour dans les yeux de Florence, elle eut les larmes aux yeux et plongea son regard dans celui de Florence. C’était effectivement bizarre, mais après tout... Florence lui avait fait découvrir tout un pan de sa personnalité, prenait soin d’elle... N’est-ce pas ce que font les mères ?
    
    — C’est d’accord... Maman.
    
    — Oh ma chérie, mon amour, ma fille ! Je suis si heureuse ! Dorénavant, tu es ma fille, ma petite chienne de fille. Tu es toute à moi ! Maman va s’occuper de toi. T’éduquer. Et te corriger.
    
    — Oui Maman ! Allez-y... Vas-y ! Prends ta fille, ta salope de fille en chaleur.
    
    C’est comme si un barrage s’était brisé, Emeline se sentait plus libre de s’exprimer, moins intimidée, plus libérée et Florence s’en rendit bien compte. A partir de là, la plantureuse femme se déchaîna. Elle plaqua Emeline sur le dos, lui fit ouvrir grand la bouche et ...
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