1. Sous les chrysanthèmes fleuris


    Datte: 15/04/2023, Catégories: fh, ff, fffh, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fgode, Auteur: Kannouteki, Source: Revebebe

    ... membre de Benjamin ne manque pas de se redresser sans toutefois atteindre son apogée. Christine, interrompant ses femmes en chaleur, dirige notre petite réunion vers un banquet charnel d’une main de maîtresse :
    
    — À toi Noémie, me dit Christine en me tendant un anneau pénien ou cockring avec de petits picots.
    
    Nous y voilà !
    
    — Mais, heu… je n’ai jamais mis un anneau de ce genre…
    
    Alors Benjamin, très gentleman, m’indique la procédure et me guide d’une voix suave et douce.
    
    C’est sûr, je vais me liquéfier sur place avant d’y arriver à l’enfiler… cet anneau, me dis-je les mains tremblantes. Ce qui est sûr aussi, c’est que le bel Adonis s’amuse autant de ma stupéfaction que de mes mains déjà sur ses cuisses.
    
    À genoux devant lui, soumise à ses consignes, je prends son sexe à demi-dressé et glisse en douceur l’anneau, ensuite je saisis le prépuce entre deux doigts délicatement pour faire coulisser l’accessoire jusqu’aux orphelines. Sous mes mains, je vois ce magnifique organe prendre une ampleur à une allure folle. L’anneau retient le sang du membre érigé qui atteint en un temps record la dureté souhaitée, sans toutefois atteindre la plénitude de son arc, narguant ainsi toute l’assemblée.
    
    Prenant conscience subitement que je suis bouche bée au niveau de cette majestueuse et puissante colonne d’acier, je rougis. Benjamin ne me quitte pas des yeux affichant un air coquin avec un sourire prometteur.
    
    Christine, en bonne hôtesse, me guide à nouveau :
    
    — ...
    ... Montre-leur, ma chérie, comment traiter et honorer un tel pal !
    
    Je m’attelle donc à la tâche, excitant la peau fine du gland de la pointe de la langue, lapant les quelques centimètres de la peau du prépuce, que je tire en arrière pour le décalotter. Benjamin gémit sous l’attaque diabolique de ma bouche. J’engloutis ainsi entièrement la bête dans des bruits de succion jusqu’au fond de ma gorge pour le relâcher aussitôt. J’en ai les larmes aux yeux, la mâchoire douloureuse peu habituée à de telles dimensions.
    
    Il résiste le bougre, il est endurant !
    
    Je le reprends en bouche tantôt en salivant, titillant, léchant. Son bassin accompagne mes mouvements. Il gémit plus fort, la délivrance est proche.
    
    Soudain, Benjamin repousse ma bouche et masturbe cet imposant membre devant moi. Le cockring lui confère une puissance décuplée, ses veines saillent, le gland est très gonflé.
    
    Il lâche alors son étendard qui monte et baisse au rythme des contractions de ses muscles, en éjectant à chaque remontée des filets de sperme. Au passage, les filles essayent de saisir ces firmaments volants de leurs doigts. Je suis estomaquée par ce pouvoir éjaculatoire qui n’en finit pas.
    
    Benjamin plante alors son regard victorieux dans le mien et le redescend vers son sexe encore au garde-à-vous, il bande toujours.
    
    Christine écarte le troupeau de femelles en chaleur organisant les prochaines festivités :
    
    — Benjamin, pourriez-vous montrer à Noémie le pouvoir de votre anneau ?
    
    Quoi ? Ce n’est pas ...