1. Que de sushis


    Datte: 14/04/2023, Catégories: fh, grp, asie, inconnu, Collègues / Travail hépilé, fépilée, caférestau, fsoumise, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, échange, Partouze / Groupe aliments, attache, mélo, regrets, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... nous permet d’admirer les moindres détails de l’anatomie des pénitents.
    
    Car, c’est bien de cela qu’il s’agit pour ces femmes et ce type qui resteront allongés et immobiles tout le temps que les convives dégusteront les mets, quelque part entre la pointe de leurs seins et le bas de leurs cuisses, gardées légèrement écartées pour pimenter le repas.
    
    Pour autant que cela soit pratiqué avec élégance et à voix basse, aucune digression sensuelle n’est interdite, contrairement à la tradition authentique du myotaimori (pour une femme) et du nantaimori (pour un homme). La légèreté des kimonos y incite d’ailleurs. Les tables humaines sont volontaires et accomplissent là un exercice de maîtrise particulièrement exigeant. C’est un honneur d’avoir été choisis.
    
    Je savais Serge adepte d’érotisme japonais, mais là, question de raffinement, il fait très fort.
    
    Au début, tout se passe selon les règles fixées par madame Sadikao. Malgré la retenue dont la plupart des invités font preuve et la position d’infériorité imposée aux présentoirs vivants, quelques signes d’émotion érotique ne tardent toutefois pas à apparaître sur les corps allongés.
    
    Les boissons alcoolisées et la stimulation mutuelle aidant, un échange très particulier s’installe entre les mannequins-plats et les convives. Les premiers se soustraient à toute stimulation en pratiquant une méditation longuement exercée. Les seconds tentent de les distraire par des effleurements lascifs au moyen des aliments à ...
    ... disposition.
    
    L’un d’entre eux se met déjà à jouer avec la queue rigide d’une crevette géante sur le haut des cuisses d’une femme-plats allongée à sa merci, avant de gober lascivement un sushi sur son mamelon gauche. Elle ne réagit pratiquement pas. En revanche, lorsqu’une des femmes lèche l’entrelacs d’œufs de poissons qui orne son bas-ventre, sa fleur de lotus semble s’entrouvrir délicatement. Il sera nécessaire d’approfondir encore un peu la méditation.
    
    D’un geste gracieux, la femme s’enhardit et détache la ceinture de son kimono. Les pointes de sa ravissante poitrine sont aussi raides que celles de la table humaine, sur laquelle un des hommes expérimente maintenant des effleurements par sushis interposés. Sous l’alternance du contact froid des bouchées crues, puis de la chaleur des doigts agiles, la respiration de la fille s’agite.
    
    L’effort qu’elle fait pour retenir d’involontaires mouvements du bassin excite un des participants, qui renonce à cacher l’érection que la scène provoque. Se détournant des mets raffinés, il tend son membre à sa voisine entre deux bouchées de poisson cru, et l’excite en pinçant ses mamelons au moyen des baguettes japonaises prévues pour d’autres manipulations.
    
    Profitant de la demi-obscurité, les convives des autres tables ne sont pas en reste. À croire que l’appétit de chair domine celui pour les mets raffinés. Les manœuvres de séduction entre convives sont de moins en moins discrètes. Les kimonos glissent au sol, les pointes les seins se tendent ...
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