1. John & Jane (5)


    Datte: 13/04/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... féminine. C’est divin elle joue de toutes les taquineries, de la langue, des lèvres, des dents, de ses doigts de fée ou ses griffes de félin, elle excite, irrite ou adoucit.
    
    Mon excitation devient presque douloureuse au moment où elle me chevauche et s’empale d’un coup. Le pieu bien planté, elle apprécie le moment, se couche sur moi, nos lèvres s’unissent. Le bassin calé sur mon pubis, elle est immobile, seuls ses muscles se contractent en rythme et me massent, me sucent, me pompent. Elle sait qu’elle peut me faire jouir ainsi mais elle en veut plus.
    
    Elle se relève, se positionne à la verticale sur mon ventre, le corps part légèrement en arrière, les mains appuyées sur mes cuisses. Bien en place, je la laisse aller sur mon membre. Je la tiens par les hanches. Elle monte et descend et en rythme, son vermisseau bat la mesure, les deux petites noisettes se rassemblent en l’air et s’écartent en tombant sur mon pubis. Sa tête renversée en arrière, elle cherche l’air bouche grande ouverte, sa respiration est bruyante. Elle conduit la danse je ne fais que l’accompagner.
    
    Son ventre se liquéfie, ses sucs coulent sur mon ventre. Un Clap ! Clap ! sonore suit le rythme de la danse comme les palmas pour le flamenco. Son ventre s’anime, il lèche et suce le dard, il est comme aspiré par une ventouse , la danse s’accélère. Les jambes appuyées sur mes cuisses sont prises de tremblements. La respiration devient haletante, les doux gémissements deviennent râles sonores.
    
    — Ha ! ...
    ... Ha ! Ha ! Haaaaaa !... Ha ! Ha ! Ha ! Haaaaaa !...
    
    Le jus bouillonne au fonds de mes testicules, je suis un piètre danseur, un cavalier qui lâche sa cavalière au dernier tourbillon, je ne peux plus rien, je lâche tout.
    
    — Oui ! Oui ! OUIIIII !
    
    Ma jouissance se mêle aux sucs dans le manchon gorgé de jouissance, le sphincter déborde, le cocktail s’étale sur mon pubis. Eve essoufflée de sa chevauché se couche sur ma poitrine, ses bras au dessus de ma tête, sa tête calée au creux de mon épaule. Comme après une course elle reprend sa respiration, son cœur bat fort. Je la caresse doucement sur tout le long du dos jusqu’à ce que tout se calme
    
    — Eve, tu es une divinité, tu es une diablesse, tu fais l’amour comme une femme, avec la force masculine, ton cul est un vagin, une bouche, une main.
    
    — Ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour comme maintenant, comme depuis hier. Avec ta tante je suis devenue lesbienne. Elle dit vrai tu es un délicieux amant.
    
    On reste encore un moment... La pénombre, le silence, on apprécie cette quiétude mais la faim nous ramène à la réalité, Notre Dame sonne... 11 heures.
    
    — N’aurais-tu pas faim ?
    
    — Si !
    
    En un claquement de doigt tout change : on se sépare, lumière, bruit d’assiettes, de couverts, portes de placard, emballages qu’on déchire, la table est mise, je vais pour m’asseoir :
    
    — John tu vas manger nu ?
    
    — Euh...
    
    — Couvre-moi ces tétons que je ne saurais voir....
    
    Avec un sourire moqueur, elle prend le sac du ...
«1234...»