1. John & Jane (5)


    Datte: 13/04/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... chambre, comme elle m’a embrassé à la commissure des lèvres en me quittant, son explication du miroir comme pour cacher une autre raison. Toujours bien habillée, bien maquillée, toujours parfumée comme ce soir, une fragrance orientale et voluptueuse l’entoure. Je repense à la remarque d’Eve lors de mon travestissement : même nue ton parfum ne te quitte jamais, il définit ta personnalité, signe tes habits. Depuis cette remarque parfum et sexualité sont liés.
    
    Eve s’endort dans mes bras, je m’assoupis également...
    
    Quelques temps plus tard, Notre Dame sonne 9 coups.
    
    Ma grande sœur bouge un peu se retourne, la coquine ne perd pas le nord, une main dans mes cheveux, l’autre sous la jupe s’empare de la cage et de l’animal enfermé. Elle tire le paquet, le tourne d’un quart de tour et force, elle réveille le rat sans patte qui du coup se trouve à l’étroit dans sa demeure. Je constate l’exiguïté des lieux et plus je me réveille plus ça devient étroit, contraignant. Elle cesse d’agiter le grelot, ses yeux brillent de malice :
    
    — Tu découvres les bienfaits de mon cadeau, tu penseras à moi quand tu banderas ou plus exactement quand je t’empêcherai de bander... La cage comprime ton gros rat et va s’imprimer sur les chairs, c’est hyper excitant à toucher.
    
    — Et hyper gênant à porter.
    
    — Tu la porteras nue sous ta robe ou dans ton pantalon en pensant à moi, Joyce m’a dit que j’étais un peu sadique et m’a confessé que toi et Jade étiez un peu maso... Nous sommes faites pour ...
    ... nous entendre petite sœur.
    
    Elle masse le paquet, c’est le cas de le dire et me roule une pelle, j’y réponds amoureusement. D’une main je relève sa jupe et vais chercher son œillet dans la vallée, l’autre se glisse sous le corsage et la coque du soutien gorge pour exciter le téton.
    
    On reste ainsi à s’embrasser, à se câliner, à se tourmenter. Eve devient sadique dans sa manière de me tordre le paquet et moi maso en avançant le pubis pour mieux m’offrir. Par ailleurs j’accentue la pression sur le téton et avec deux doigts dans le cul en forme de crochet je l’oblige à cambrer le dos et bomber la poitrine. Elle gémit et arrête le jeu en me mordant la langue d’un coup sec et lâchant la cage.
    
    — Tu as gagné, je te libère et tu me fais l’amour !
    
    Avec un sourire je relâche mon étreinte. En peu de temps nous sommes nues, ma tige libérée se développe comme un papillon à la sortie de sa chrysalide, extraire les bourses et la verge n’est pas une mince affaire, tout le sexe est marqué des fers de la cage. La vue de sa silhouette féminine aux tétons disproportionnés sur ses deux petits cônes et au clito semblable à un petit escargot me foutent le feu au jonc.
    
    Après une toilette, allongé je l’attends. La lumière éteinte, la chambre est juste éclairée par la luminescence de la ville. Elle se place entre mes cuisses et me fait une fellation très gourmande. Les marques de la cage sur le tronc et les fruits s’estompent. Elle suce en associant la force masculine et la délicatesse ...
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