Une chute de vélo (22)
Datte: 12/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... ou moins le spectacle. Je glissai mes mains sous ses vêtements pour caresser ses seins fermes. Elle appuyait ses fesses contre mon sexe bloqué dans mon bermuda, qui n’avait pas besoin de ça pour s’y sentir à l’étroit.
Gordon avait calé son épaule contre celle de Katia. Tous deux avaient débuté cette ballade nocturne bras dessus, bras dessous, et se tenaient encore par la taille il y a quelques minutes. Depuis, la main de Katia avait glissé sur la fesse de Gordon et se trouvait à présent dans la poche arrière de son pantalon, lui palpant la fesse, en toute discrétion, pensait-elle sûrement. Gordon quant à lui, ne pouvait lui rendre la pareille, puisque sa jupe n’avait pas de poche à l’arrière. Il avait placé sa main au plus bas de son dos, et de son majeur, marquait fermement la frontière entre ses fesses.
Julie me prit une main, la guida entre ses jambes. Je pus ressentir la chaleur, la moiteur de son sexe débordant d’envie par-dessus le leggins qu’elle avait passé en hâte juste avant de partir, remplaçant sa robe qu’elle ne voulait pas risquer d’abimer dans les broussailles bordant le chemin. Cela n’arrangea pas mon état, me donna envie d’elle, là, maintenant. Tout le monde observant l’orage, je reculai lentement, à pas de loup, entraînant Julie avec moi, nous nous éclipsâmes une cinquantaine de mètres plus loin, derrière un taillis de genêts. Disparaître aux yeux du groupe, ne nous avait pris que quelques minutes, mais elles avaient fait monter notre envie très ...
... haut.
A peine allongés au sol, Julie remonta son t-shirt, et je me précipitai sur sa poitrine qui me faisait envie depuis que j’y avais mis les mains. Elle posa les siennes dans mes cheveux, qu’elle ébouriffait, tirait ou caressait selon la manière dont je m’occupais de ses seins. Sans perdre de temps, car notre absence risquait d’être remarquée d’un instant à l’autre, je descendis entre ses jambes, éponger toute cette envie d’amour qu’elle ne pouvait plus contenir. Notre échange, aussi silencieux que fougueux fut subitement interrompu par Gordon, qui avait dû nous repérer lors de notre évasion.
— Eh bien, les enfants, chuchota-t-il très bas, vous en trouvez ?
— Hein ? Mais de quoi parles-tu Gordon ? lui répondis-je sur le même ton.
— Et bien des trèfles à quatre feuilles !
Voilà toute l’espièglerie de Gordon. Il venait de nous surprendre, en train de batifoler, comme des adolescents, et son excellente éducation associée à un sens de l’humour tombant toujours juste avait fait mouche : Julie réprimait à grand peine un fou rire.
— On peut chercher ensemble ? demanda Katia qui l’avait accompagné. Hervé ? Tu permets que Gordon en cherche ? Il m’a fait du gringue toute la soirée. J’ai chaud partout moi maintenant.
— Partout, partout ? lui demanda Gordon.
— Oui, partout, partout ! Si tu n’agis pas rapidement, je vais tout brûler autour de moi. C’est à cause de Gordon et de ses mains baladeuses, ajouta-t-elle à mon intention.
— N’en crois rien Hervé, s’offusqua ...