1. Louise va subir la vengeance de son mari


    Datte: 06/09/2018, Catégories: fhh, vacances, ffontaine, Oral double, fsodo, Auteur: Surcouf14, Source: Revebebe

    ... OK ? Allez, on t’attend. Je t’envoie l’adresse par SMS.
    
    Enzo arrive un peu plus tard avec sa valise. Je lui ouvre la porte.
    
    — Merci beaucoup, vous êtes adorable de m’accueillir, me dit-il. J’ai fait deux courses avant de venir, j’ai amené une bouteille de champagne, une de génépi, de la charcuterie de montagne et ce bouquet pour la maîtresse de maison. Je ne voulais pas arriver les mains vides.
    — Merci Enzo, lui dis-je en l’embrassant sur les deux joues, c’est toi qui es adorable et très bien élevé. Je vais ranger tes bouteilles dans le freezer. Je te laisse poser tes affaires sur ton lit. Tu peux prendre une douche si tu veux, la salle de bain est libre.
    — Avec plaisir, tu m’as bien fait transpirer aujourd’hui. Ce n’est pas toujours facile de te suivre. Allez, je file sous la douche et je viens vous aider.
    
    Alors que je prépare un apéritif dînatoire, Serge s’amuse sur son téléphone, j’entends Enzo qui prend la douche. Je me dis que j’aimerais bien lui frotter le dos, à ce bel italien. Je regarde instinctivement du côté de la salle de bain et me rends compte que la porte de celle-ci est légèrement entrouverte, j’aperçois Enzo qui vient de sortir de la douche en train de se sécher. Je manque de faire tomber mon couteau, surprise par cette vision inattendue. Je ne le vois que de dos, mais l’envers est très prometteur, un dos taillé en V, des fesses fermes, des jambes musclées. Je l’observe furtivement en train de sécher, je le vois enfiler un boxer puis un polo ...
    ... moulant. Je fais mine de rien alors qu’il sort de la salle de bain, mais ne peux m’empêcher de le mater alors qu’il finit de se vêtir dans le couloir de l’entrée.
    
    — Je suis prêt, dit-il en venant nous rejoindre.
    — Moi aussi, lui dis-je, comme tu peux le voir Serge m’a bien aidée à préparer l’apéritif en le désignant affalé sur le canapé, toujours concentré sur son téléphone.
    — Je peux t’aider Louise, me demande-t-il ?
    — Oui, c’est gentil, il n’y a qu’à poser ces assiettes sur la table du salon. Je sors d’abord notre bouteille de champagne qui doit être un peu plus fraîche que la tienne.
    
    Nous nous installons et commençons par trinquer et à grignoter toutes ces bonnes choses posées là. Serge parle du travail et explique à Enzo le fonctionnement de la société qu’il ne connaît pas encore très bien, les gens sur qui il peut compter, ceux dont il doit se méfier, etc.
    
    Cette discussion ne me passionne pas vraiment, je suis plus intéressé par les beaux yeux d’Enzo et par ses muscles qui se dessinent sous son polo. Les coupes se vident régulièrement et rapidement, nous sortons la bouteille amenée par Enzo.
    
    — Cela vous dirait de faire un jeu, propose Serge qui a dû se rendre compte que cette conversation ne me plaît pas trop.
    — Ah oui avec plaisir, ça va changer ! dis-je enthousiaste.
    — J’ai toujours des cartes avec moi, dit Enzo, un petit poker ?
    — Je ne connais rien à ce jeu, lui dis-je, un peu déçue de cette proposition.
    — On va t’apprendre, dit Serge, tu verras, c’est ...
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