Louise va subir la vengeance de son mari
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
fhh,
vacances,
ffontaine,
Oral
double,
fsodo,
Auteur: Surcouf14, Source: Revebebe
... position semblent exciter mon Serge comme jamais. Son rythme s’accélère un peu plus, mes sensations se font encore plus intenses jusqu’à ce que je le sente jouir dans mon étroit conduit et l’emplisse par de longs jets de sperme. Il s’écroule sur moi, reste quelques instants figé ainsi puis se retire tout doucement. Je sens son jus s’échapper de mon anus libéré, je retire le gode et vient me coller tout contre lui. Nous nous endormons, je crois, presque aussitôt.
Je suis réveillé par le jour qui pointe. Je me lève, tire le rideau et admire le paysage enneigé. Il semble avoir neigé une bonne partie de la nuit, les arbres sont recouverts de cette neige douce, floconneuse. Éclairé par le soleil levant, j’admire ce paysage magnifique presque irréel. Je vois Serge couché et décide de le réveiller.
— Debout, Serge, il fait jour, lui dis-je.
— Hmmmm oui, je me lève.
Il ne nous faut pas longtemps pour nous préparer et nous retrouver sur les pistes. Après quelques échanges de SMS, nous retrouvons assez vite Enzo, le nouveau collègue de Serge.Très beau garçon, me dis-je. Les yeux bleus, la peau mate, les cheveux bruns ondulés, une allure sportive. Le véritable italien dans toute sa splendeur.
Enzo nous explique qu’Antonella sa compagne n’a pas pu venir. Un problème familial l’a contrainte, très tôt ce matin, à se rendre à Milan. Il l’a posée à l’aéroport avant de nous rejoindre, il la récupérera demain soir à son retour des pistes.
Nous passons la journée à skier avec ...
... lui, effectivement, c’est un excellent skieur. Il nous explique qu’il faisait partie de l’école de ski à Milan quand il était enfant et qu’il passait tout son temps libre hivernal à « taper du piquet » comme on dit. Serge nous suit tant bien que mal dans les descentes vertigineuses. Heureusement, il peut se reposer sur les télésièges. Me reposer ne me déplaît pas non plus, car, souvent, je me retrouve assise à côté d’Enzo et le contact de ma cuisse contre sa cuisse a une fâcheuse tendance à provoquer en moi une émotion que je peine à contrôler…
À la fin de la journée, nous nous rendons chacun dans notre hôtel. Le temps de prendre notre douche, le téléphone de Serge se met à vibrer, il décroche.
— Oui Enzo, dit Serge… Ah mince alors ! Attends Enzo, deux secondes Enzo. Louise, Enzo a un problème de chambre, l’hôtel n’a pas pris en compte sa réservation et tout est complet, il doit rentrer ce soir sur Lyon, il est désolé, mais il doit annuler la soirée que nous devions passer ensemble.
— Attends Serge, il y a peut-être une solution, notre appartement est grand et il y a deux petits lits dans l’entrée qui ne sont pas occupés. On peut l’héberger pour la nuit. Quand il y en a pour un, il y en a pour deux, euhhh… quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! corrigé-je un peu gênée, mais Serge ne semble pas remarquer mon lapsus.
— Enzo, dit Serge, Louise propose que nous t’hébergions ce soir, on a deux lits disponibles… Non, non, ça ne la gêne pas, je t’assure, vraiment. ...