La Formation - Histoires de Sexe

La Formation

... main vérifie et la vérité se fait une évidence. Elle a coulé… Comme l’autre soir alors que je la brutalisais. Elle a joui. Elle a inondé…

Oui, il faut que je m’endurcisse si je veux conserver son amour et pouvoir lui apporter ce dont elle a envie, ce dont elle a besoin…(Maintenant, tu as plusieurs possibilités. Tu as vu comme elle est une élève douée. Mais aussi, te sens-tu vraiment prêt à la faire baiser par d’autres ? C’est un moment important dans un couple.)

Ma décision est prise depuis le début. J’ai parfaitement conscience que cela doit arriver. Une transgression de plus. Depuis la vision de cette vidéo, j’ai pris conscience que lorsqu’elle me revenait en m’avouant un Confort, une excitation particulière m’envahissait. Je mettais la vigueur de mes envies sur le compte de retrouvailles après une longue séparation, mais je sens qu’il y avait autre chose. Sinon, pourquoi allais-je fouiller dans sa valise pour regarder combien de préservatifs avaient été utilisés, sortir ce qu’elle me cachait, ce que j’appelais sa tenue de Confort avec sa lingerie de pute et cette robe si moulante et courte ? Oui, pourquoi me branlais-je comme un adolescent en l’imaginant vêtue ainsi et se faire renverser comme une chienne en chaleur ?

La vidéo m’avait ouvert les yeux, à la fois sur l’addiction de ma femme, mais aussi sur ce que je me cachais depuis un moment… je deviens libertin, ou au moins, candauliste.

Mon signe de tête est sans équivoque.

(Balançoire sexuelle, banc de ...

... punitions, Chaise, croix de saint André, Carcan. Je te conseille le Carcan, la soumise est bien immobilisée, mais parfaitement visible.)

Je la détache.

Alors, spontanément, Esteban vient m’aider.

Je choisis le carcan, large planche de bois percée de trois trous, fixée rigidement sur un socle stable. La partie supérieure s’enlève laissant la place pour le cou et les poignets. Je lui enlève le collier de servitude. Elle me cherche du regard, mais je me concentre sur ce que je fais tout en essayant de me donner l’attitude d’un Maître, indifférent aux suppliques de sa soumise. Mais chercherait-elle à m’attendrir, me supplier, ne serait-ce que par un regard si ce n’est sa voix ?

Non je ne crois pas. Il suffit de voir comment elle pose son cou et ses poignets dans les demi-cercles.

Elle ne proteste toujours pas, alors que la partie haute du carcan se referme sur elle.

Elle ne proteste pas plus alors qu’Estéban fixe ses chevilles à la base du support, lui faisant écarter les jambes dans une promesse qu’elle ne peut ignorer. Son dos est quasi horizontal. Sa poitrine ne peut résister à la pesanteur.

Elle ne proteste pas, mais grimace tout de même lorsque j’accroche à ses tétons des bijoux, lourdes pièces de métal qui déjà se balancent.

Même ainsi elle est belle. Esclave, mais belle, sensuelle, la peau rosie par cette punition, punition dont je ne suis pas mécontent de l’originalité même si un instant j’ai été effrayé de la chiffrer.

Je m’agenouille devant ...