Une relation épicée
Datte: 09/04/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
vacances,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... agressifs de l’épicière. Elle lui rappelait un personnage d’un livre qu’il venait de lire avec plaisir,« Clochemerle » de Gabriel Chevallier : Adèle, la tenancière de l’auberge.
N’étant plus puceau, il s’imaginait lui faire l’amour dans toutes les positions et la faire crier de plaisir comme il avait fait crier quelques copines délurées, mais en imaginant quelques initiatives salaces de sa rurale partenaire.
Oui, mais elle était inaccessible parce que mariée et le considérait probablement comme un gentil garçon, sans plus. Néanmoins, il prit l’habitude de lui rendre visite chaque matin pour acheter des fruits ou, parfois à la demande de sa mère, des légumes, si bien que cette dernière l’interrogea un jour :
— Dis donc, tu as l’air de bien l’aimer, l’épicière. Ce n’est pourtant plus une jeune fille, à ce que j’ai vu.
— Oui et alors ? Elle est sympa et ici, je ne connais personne d’autre.
— Vous discutez de quoi ?
— De tout et de rien. Du pays. De moi, d’elle. Son mari a fait un AVC il y a quelque temps et elle se fait du souci pour lui, même s’il continue à alimenter son commerce avec son jardin. Je l’ai d’ailleurs rencontré, il est sympa aussi, un vrai gars de la campagne. Il m’a proposé d’aller à la pêche avec lui un de ces jours.
— Bonne idée, ça te sortira. Tiens, à propos, Laurent vient demain. Si tu as quelque chose à faire, c’est le moment.
Edgar encaissa. Laurent était l’amant de sa mère, divorcée depuis cinq ans. Elle était encore belle femme à la ...
... cinquantaine, avec ses cheveux auburn et son corps intégralement bronzé, ne résistant pas à s’exposer nue au soleil dans le jardinet derrière la maison, qu’Edgar soit présent ou pas. Rentrant une fois à l’improviste, il avait entendu du bruit dans la chambre de sa mère dont la porte était entrouverte et avait découvert celle-ci sur le lit, les jambes croisées autour des reins de son amant, jappant à chaque coup de boutoir de celui-ci.
Figé, il avait vu subrepticement l’amant la retourner et la prendre par-derrière. Il voyait encore le visage de sa mère crispé par le plaisir, ses seins ballottant entre ses bras et les mains de son amant sur ses hanches. À un moment, elle avait crié :
— Ouiiii, jusqu’aux couilles, jusqu’aux couilles…
Le rouge au front, Edgar s’était enfui et n’était revenu que le soir, une fois l’amant parti. Il avait conservé de cet épisode une forte impression : sa mère aimait autant recevoir des coups de bite que lui en donner. Il savait de qui il tenait.
Le lendemain, il se rendit comme chaque jour à l’épicerie. C’était devenu une habitude et il avait presque l’impression de faire partie de la maison. Il eut la surprise de voir Simone les cheveux colorés en acajou, les ongles des mains et des pieds peints en rouge carmin, assortis à son rouge à lèvres, et les yeux maquillés. Vraiment rajeunie. Vêtue d’une mini-jupe en jean lui arrivant à la moitié de ses larges cuisses qu’elle montrait sans complexe, elle portait aussi un débardeur copieusement ...