Une relation épicée
Datte: 09/04/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
vacances,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... se fit raccompagner à l’épicerie avant de rejoindre son domicile, non sans avoir garanti sa visite le lendemain. Il était bel et bien devenu accro à Simone.
Revenu à son domicile, il trouva sa mère et son amant en train de prendre le thé. Ils venaient visiblement de baiser, car ils étaient tous les deux à poil et ne prirent même pas la peine de se vêtir en sa présence. Edgar raconta brièvement son périple en évitant d’évoquer la séance de la grange. Mais sa mère avait un petit sourire en coin qui laissait supposer qu’elle avait deviné des choses. L’intuition féminine…
Quoi qu’il en soit, Edgar revint le lendemain, comme à son habitude, à l’épicerie. Mais cette fois, il tomba sur le mari, car Simone était partie faire une livraison. Gêné aux entournures, il allait s’esquiver quand le mari le retint. Il avait à lui parler. Edgar sentit le sang bouillir dans sa tête. Avait-elle tout avoué ? Le mari allait-il lui régler son compte ? Le propos qu’il lui tint était tout sauf prévisible :
— Simone te plaît, hein ? C’est vrai qu’elle est belle, ma femme. Et elle est chaude comme la braise. Hélas, je ne peux plus lui donner ce qu’elle attend. Ma santé, tu comprends. Toi, tu es jeune et tu lui plais bien. Je préfère que ce soit toi qui couches avec elle qu’un gars du coin qui se vantera de m’avoir fait cocu. Car toi, tu partiras un jour. Voilà, tu connais mon sentiment. Maintenant, qu’est-ce qu’il te faut aujourd’hui ? J’ai d’excellentes pêches.
Un peu déboussolé, Edgar ...
... acheta un kilo de pêches et s’en retourna chez lui. Le mari était-il au courant de l’épisode de la grange ? Rien ne le laissait supposer, mais il se doutait de quelque chose. Il décida d’en avoir le cœur net et retourna à l’épicerie l’après-midi. Simone était à nouveau vêtue de sa robe boutonnée sous laquelle ses seins évoluaient en toute liberté. D’une voix rauque, il lui confia son échange avec son conjoint le matin. Simone prit un air grave :
— C’est un bon mari et c’est pourquoi je ne le quitterai jamais. Il veut mon bonheur.
Puis son visage s’éclaira :
— Allez, viens, j’ai envie de toi.
Elle ferma sa boutique, prit Edgar par la main et l’entraîna dans une pièce adjacente où trônait un canapé fatigué dans un désordre de cartons et de cagettes. En marchant, elle avait déboutonné sa robe qui tomba sur ses chevilles et elle apparut nue. Entièrement nue.
— L’été, je ne porte rien sous mes robes, expliqua-t-elle, mutine, en s’étalant sur le canapé, cuisses largement ouvertes sur son bas-ventre foisonnant. Allez viens, lèche-moi, t’inquiète pas pour mon mari, il est parti à la pêche. Et mets-toi à poil aussi, que je voie ta queue.
Edgar s’exécuta dans un état second. Simone lui faisait face, offerte, une main entre ses cuisses, l’autre titillant un téton. Nu et à genoux, il plongea le nez dans la vulve qu’il lapa à grands coups de langue. Simone poussa un profond soupir, une main crispée sur sa nuque et il baigna vite dans son jus, se barbouillant le visage. De ...