Séduction, amour et soumission (7)
Datte: 09/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... posés les uns après les autres sur le lit.
Soudain je sentis une tige, dure, comme un bambou se poser sur ma chatte. Son extrémité n’était pas lisse, comme dentelée ; Linda inspectait ma chatte du bout de cette badine, appuyant sur mon clito, ouvrant mes lèvres, passant à l’intérieur de ma vulve pour ensuite s’arrêter un instant sur mon vagin. A chaque passage, chaque toucher, la tige me piquait. C’était une douleur excitante. Lorsqu’elle plaça la badine sur les pinces, commencèrent les vraies épreuves. Allant de mes tétons à mes lèvres, elle faisait bouger les pinces créant des élancements comme des brûlures. Linda fit durer ce ballet, moi, effarée, j’aimais ça ! Je n’avais cependant pas anticipé la douleur lorsqu’elle retira les pinces ; Linda, bienveillante, massait et suçait ces parties meurtries. Je m’allongeai pour récupérer.
« Remets-toi à quatre pattes et écarte tes fesses ! » La tête posée sur l’oreiller, de mes mains j’ouvris mes fesses. Je sentis un objet se poser sur mon petit trou.
« Tu as déjà été prise comme ça ?
-Non pas encore ; juste des doigts.
-Pour une première fois ça n’est pas à moi de le faire.
-J’en ai envie Linda, vraiment envie.
-Comme tu veux ; tu n’auras pas à me poser cette question. L’objet revint, Linda l’avait enduit de gel et il pénétra doucement dans mes entrailles jusqu’à ce que sa progression devienne difficile, douloureuse. Linda prenait son temps, sans forcer, millimètre par millimètre le plug avançait ; je sentis ...
... mon anus se dilater au fur et à mesure, enfin je l’engloutis. Impression nouvelle, étrange mais agréable d’être remplie.
« C’est bien, on va beaucoup jouer avec nos culs. Maintenant je suis ta chienne. »
Je m’assis sur son ventre. « Prends la cravache ». Elle avait pris un ton doux presque suppliant pour me donner cette instruction. Elle était en cuir noir avec un tige flexible, tressée, au bout un morceau de cuir flottant. Je la passai sur ses lèvres annelées, à l’intérieur de ses cuisses, hésitante, je répétais mon geste.
« C’est moi ta chienne, punis ta chienne, punis-la ! »
J’abattis une première fois la cravache, puis une deuxième, je continuai, accélérai le rythme ; ses cuisses comme sa chatte se zébraient sous mes coups ; j’entendais les ahanements de Linda, sa chatte toujours offerte.
« Ooooh, continue, continue, plus fort »
Je lâchai mes coups, sa chatte gonflait, elle lançait son bassin au-devant lorsque ses mains saisirent ses anneaux pour ouvrir encore plus sa vulve. Je poursuivis mais à un rythme plus lent. Jamais elle ne se déroba. Poussée par la compassion autant que par l’excitation qui s’était emparée de moi, je jetais la cravache et plongeais sur sa chatte, meurtrie, brûlante, la mienne collée à sa bouche. En me léchant elle faisait jouer le plug. Une onde encore inconnue se propagea dans mon corps et sous sa langue, je jouis encore avec une intensité nouvelle. Linda retira doucement le plug.
« Tu aimes ces jeux on dirait et tu fais ça ...