1. Séduction, amour et soumission (7)


    Datte: 09/04/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    Séduction, amour et soumission Chapitre 7
    
    La sonnerie du téléphone de Blanche me réveilla. Je me retournai vers elle toujours endormie ; Blanche ! Les yeux clos, cheveux en bataille je scrutai ce visage d’ange qui cachait si bien ce qu’elle était. C’était la première fois qu’elle m’avait proposée un plan à trois. C’était aussi la première fois que je m’y livrai. Il n’y avait qu’elle qui aurait pu m’en convaincre. Les images de notre soirée défilaient, une douce chaleur montait entre mes cuisses. Hier soir, il était si tard, nous étions si épuisées que nous nous étions couchées sans rien ranger en nous contentant d’un brossage de dents. Éparpillés, nos jouets inertes trainaient dans la chambre.
    
    Je me levai pour préparer du thé. Lorsque je revins les tasses à la main, Blanche assise, son téléphone à la main se tourna vers moi :
    
    « Écoute ça ! » C’était un message de Samia.
    
    « Blanche, ma chatte, mon cul et mes seins sont tellement douloureux ce matin mais c’est si bon ! Merci pour cette soirée intense. Je porte encore vos odeurs, autre souvenir, moins cuisant ! Remercie Marianne, j’aime sa perversité ! J’espère avoir été à la hauteur et suis prête pour plus. Je vous embrasse toutes les deux respectueusement. »
    
    « Alors tu ne regrettes rien ? J’ai eu raison d’insister. »
    
    Assises dans le lit, nous buvions notre thé.
    
    « C’était top ! Ta Samia est plus qu’intéressante ; c’est la première fois que je rencontre une vraie maso !
    
    -Tu sais quoi, je ne t’imaginais ...
    ... pas aussi vicieuse ni… sévère ! Elle rit.
    
    Elle baissa les draps, se mit sur le flanc.
    
    « Regarde, j’ai encore les fesses marquées non ? »
    
    Le cul de Blanche portait en effet encore des marques, celles de mes mains mais aussi celle de la badine que j’avais utilisée plus tard dans la soirée. Je posai la main sur son fessier rougi pour la caresser.
    
    « Tu aimes ça ma Blanche, hein !
    
    -Tu le sais ; par contre je ne crois pas que j’aurais pu subir ce qu’on a fait subir à Samia.
    
    Elle se retourna.
    
    « Toi ça t’a vraiment excitée d’être dans ce rôle de maitresse ?
    
    -Beaucoup, oui.
    
    -Ta chatte est indemne mais peut-être « intéressante » ce matin. Elle se dirigea sa main vers mon pubis ; lorsque ses doigts se glissèrent entre mes lèvres, elle les fit aller et venir pour le plaisir d’écouter ce clapotis qui trahissait mon désir. Sa bouche se rapprocha.
    
    « Il n’y a pas que l’amour que tu sens ! Voilà une chatte comme je l’aime. »
    
    Pour mon plus grand bonheur, elle n’avait rien à m’envier.
    
    La caresse de nos bouches n’en finissait pas.
    
    Leyla
    
    J’aime Londres ! Nafissa ma cousine, plus âgée que moi (elle avait 23 ans) y habitait depuis plusieurs années. Nous déambulions dans Spitafield Market, en chineuses et pour y faire des courses.
    
    Arrivée tard la veille, je m’étais vite endormie dans la petite chambre d’amis qu’elle avait préparée. Ce soir nous avions un verre prévu chez elle ; nous serions une quinzaine.
    
    Un plat de riz iranien, des salades, des pizzas, ...
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