Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 13
Datte: 09/04/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... l'initiateur du taxi congolais qui m'a amené vers mon second orgasme. Ou c'était la pirogue de zanzibar, je ne sais plus trop, je n'ai pas eu le temps de prendre des notes ! Quoi qu'il en soit je n'hésite pas à lui rendre la pareille et à lui prodiguer une pipe de haute volée. La pointe de ma langue redessine plusieurs fois les contours de son gland prêt à l'ouvrage en toute circonstance sans son manteau. Je le mordille ensuite légèrement avant d'entamer une longue et motivée série de succions.
Pendant ce temps, un Marseillais à la bonne mère tatouée en haut de son torse musclé me fait profiter de son accent chantant en même temps que de son autre organe, ils sont en phase, sur le même ton ! S'ensuit la douceur de la peau d'en grand black qui oubliant la consigne quelques instants me fait profiter de sa fine musculature en me baladant un moment sur les matelas, le sexe bien ancré dans ma chatte avant de se faire rappeler à l'ordre par son compère de l'équipe adverse en quête de ma bouche. De retour sur le plancher des vaches, je m'attache à faire frémir la grosse veine bleue du braquemart andalou revendicatif.
Après cinq ou six étalons et deux autres jouissances, mon corps vient de rendre les armes. Alors qu'au départ mon esprit avait obstinément refusé d'accepter l'idée que cet étalage de queues allait être à satisfaire et qu'elles allaient toutes me posséder, c'est mon corps qui avait finalement pris le dessus et permis de laisser exprimer mon plaisir. C'est lui ...
... maintenant qui me dit merde et fait un bras d'honneur à la suite des festivités. Il n'en veut plus, il n'en peut plus, toutes ces bites sont devenues persona non grata !
J'ai beau souffler comme une folle pour me maîtriser, me concentrer sur celle que je suce, rien à faire, celle qui me pistonne, même en douceur, me ravage le vagin et me fait couiner de douleur. J'ai le popotin qui tente de fuir toute nouvelle intrusion, mais il a beau se trémousser dans tous les sens elles arrivent toujours à leur fin. C'est la bérézina, j'ai le berlingot cramoisi, la boite à ouvrage à la peine, l'abricot au supplice, la moniche en plein calvaire, le nid d'amour abandonné, la porte cochère toute grinçante, la fontaine à plaisir asséchée !
Ils auront beau utiliser tous les baumes du monde, la seule vue d'une queue en approche de ma case trésor me hérisse les poils, c'est une image, j'ai le minou aussi lisse que le crâne d'Obispo. J'en aurai presque pleuré, mais maintenant que je suis grande je ne peux plus me permettre. Et puis merde, je ferais des efforts plus tard, quelques larmes font leur apparition sous une nouvelle introduction. Paul est à mes côtés, il s'escrime à venir une nouvelle fois à mon secours et me motive en me bichonnant.
Malgré tous ses efforts, chaque nouvelle queue est une sinécure, chaque pénétration une torture. J'en couine, râle, vocifère, insulte même parfois le quidam à la queue qui me baise et exacerbe mes émois. Mes lèvres comme mes nerfs sont à vif ! Je viens ...