1. Les trois sorcières


    Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... n’avait pas lâché mon scrotum strié de contraction qu’elle serrait comme trophée.
    
    Je n’étais pas mécontent.
    
    D’autant que la troisième s’est immédiatement emparé de ma tige comme pour dire voilà ce qui importe réellement. La bête était encore en latence mais déjà moins réfractaire du fait des fragrances juvéniles et fraîches des deux fillettes.
    
    Lors que la première visitait d’un doigt léger mon périnée, s’aventurant entre mes fesses jusqu’au delà du correct, la seconde avait totalement décapuchoné l’animal et glissait un doigt caressant sur le haut du gland et le méat béant tout trempé des ébats précédents.
    
    J’étais tout content.
    
    D’autant que je me souvenais de la mise en garde de la grande sorcière qui me disait gare, ces deux gamines prépubères sont mineures et tu encours lourd opprobre si tu les sautes.
    
    Mais les fillettes en question me paraissaient très au fait des choses du sexe avec leurs hanches larges, leur taille fine et surtout les jolis nichons qu’elles arboraient par devant. Je n’avais aucune réticence. Et preuve de mes dires, ma bite avait repris pleine expansion saine et solide. Ce qui ne leur avait pas échappé.
    
    Surtout à celle de gauche qui se régalait présentement à triturer mon bitos tendu.
    
    Sortilège a-t-elle dit. Comment se fait-ce que cette tige ait si vite recouvré panache et si solide dureté ?
    
    Moi, je savais tout. Leurs frimousses de brunes à cheveux longs et les touffes idoines qu’elles arboraient, toutes ces choses qui ...
    ... participaient de mes émois. Et surtout leurs bouches, immenses, charnues, des bouches à la Béatrice Dalle, des bouches dont la fonction unique était assurément le fellage.
    
    En sus avec gosier large et très profond au delà, grandgousier eût dit Rabelais.
    
    Imaginez un instant ces collégiennes, pas même encore lauréates du brevet des écoles, à la chevelure épaisse noire drue raide et au regard lubrique qui t’empoignent le paquet avec appétence, salive écumante à la lippe.
    
    Imaginez ces fillettes lourdement nibarées, leurs appâts libres de tout harnais naviguant en inertie par devant, ces bimbettes croupe cambrée velues comme des grandes qui feulent leur besoin de mâle comme biches en clairière de forêt en attente des cerfs qui rôdent au profond du bois.
    
    Moi j’avais recouvré tout mon potentiel et je bandais comme en saison des ruts.
    
    Les filles avaient compris qu’elles tenaient là un bon client et astiquaient ma hampe à deux mains chacune, dégageant gland et frein à chaque descente, sans parler des remontées qui me menaient inexorablement en paradis blanc.
    
    Dehors le tonnerre tonnait et interdisait tout dialogue.
    
    J’ai renversé l’une d’elle en prétendant lui bouffer la moule. Non seulement c’eut l’heur de lui plaire mais encore la copine s’est ouverte en étoile de mer, cinq branches, pour solliciter hommage similaire. Leurs chattes étaient trempées de sécrétions fluides et je me régalai de boire alternativement aux deux sources.
    
    Les vulves étaient complexes de multiples ...
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