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Les trois sorcières
Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds
... vrai enchantement. Je ressentais cela comme sortilège de sirènes autour du bateau d’Ulysse et me sentais emporté vers des ailleurs vers un abysse. La grande me tenait serré dans ses bras, son ventre en avant cambré contre le mien et ses fluidités en contractions régulières qui aspiraient ma tige au plus profond d’elle. Elle souriait et me dit en murmure à l’oreille, viens croque la pomme Apple Eve Schneewitchen. Décharge en moi ta vitalité par la lightning. Je sentais le maléfice. En sus l’odeur montait à mes narines. Une odeur démoniaque. Une odeur de sexe d’aisselles de peau moite, le signal que ma partenaire allait prendre son pied et réclamait en synchronie mon aboutissement et de grandes lampées de sperme à noyer son col. Elle chantait son plaisir en psalmodiant. Les deux voisines avaient interrompu leurs activités personnelles et restaient immobiles, attentives, curieuses d’assister à l’épanouissement final, au bouquet. Lors qu’enfin je karchérisai abondamment son fond de cougourle j’ai senti qu’elle tirait sur mes fesses à deux mains pour plus encore m’emmancher au cœur d’elle. Moi je regrettais la visite interrompue de son grand doigt à mes entrailles. Ses cuisses étaient montées haut et son velu se mêlait au mien comme Velcro. Ses intérieurs étaient musclés et elle triturait ma tige comme fermière le pis de la vache. Soudain j’ai senti qu’on empaumait mes couilles. A deux mains qui plus est. Vu que j’avais encore des ongles plantés ...
... dans mes fesses, j’ai compris que l’une des petites avait décidé de participer. Et elle serrait, serrait... Ma nuit démarrait bien. Dans le lit le silence s’était établi. Les petites ne roucoulaient plus, d’ailleurs l’une d’entre-elles était occupée à visiter mes roupes, se désintéressant totalement de sa copine. Quant à ma partenaire, elle était dans son nirvâna et ses chants s’étaient atténués puis éteints. Dehors l’orage grondait comme jamais et bien que nous fussions en ville on entendait des craquements funèbres d’arbres qui tombaient tels le chêne de la fable. Celui de qui la tête au ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts Moi, je me sentais vidé, totalement. Les dernières pulsations orgasmiques de la grande serraient en tendresse ma tige amollie et je ressentais grand apaisement. Sauf que, diable, les mains hardies d’une petite s’affairaient sur mon paquet, manifestement déterminées à me faire recouvrer rapidement allure chrétienne. J’ai roulé pour m’échapper du havre chaud et gluant. Les jambes de ma grande amie sont descendues au drap et elle est restée allongée au bord du lit en gisante épanouie, tirant la couette à son menton. L’autre sorcière m’a escaladé. J’ai senti sur moi son poids de fillette à poitrine hypertrophiée. Elle est redescendue de l’autre côté et je me suis retrouvé encadré des deux minettes, de ces deux novices à la libido exacerbée, héroïnes de manga japonaise. Durant toute l’affaire elle ...