1. Hélène (45)


    Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... mon dos et je verrouille les entraves. Sous mon bandeau, je ferme les yeux. Je m’imagine, mon cul à disposition, attendant ce qu’on voudra bien me faire subir. Les images pornographiques défilent sous mes paupières. Je perds la notion du temps. Je sens une humidité suspecte souiller ma culotte. On ne m’a même pas touchée et je mouille déjà.
    
    Je ne sais plus depuis combien de temps, je suis exposée. Quelques minutes ou des heures quand un souffle léger perturbe le silence de la chambre.
    
    Deux mains se posent sur mes chevilles puis remontent sur mes mollets, puis mes cuisses. Je frissonne, de crainte, d’angoisse, ou de plaisir. Puis une légère fragrance effleure mes narines. Je souris, rassurée, c’est le parfum de mon amie. Elle me trousse. La jupe rabattue sur mon dos,. Hélène peut voir sur ma lingerie les signes de mon excitation. Ses doigts crochent l’élastique de mon slip, et le font glisser jusqu’en bas de mes cuisses. Je me dandine d’un genou sur l’autre et pour faire passer le tissu. Voilà mon cul est exposé.
    
    Puis quelque chose me tapote l’intérieur de mes jambes. J’identifie sans peine la cravache. Ça y est ça va commencer. Complaisante, j’écarte mon compas, ouvrant ma vulve rosie par l’excitation. La coquine en profite pour glisser le jonc entre mes lèvres. Elle me branle et caresse mon bourgeon qui s’érige doucement. Je commence à gémir mon bonheur quand elle retire sa badine. Elle me fruste.
    
    Des lanières caressent lentement mon opulent postérieur. ...
    ... J’imagine déjà le menu : martinet, et cravache. Comme une confirmation la première cinglée s’abat sur ma croupe, puis une deuxième, pas trop appuyées, juste une mise en bouche.
    
    Les quatre suivantes sont plus sévères, et m’arrache un léger gémissement.
    
    Hélène fait une pause. Puis elle envoie quatre allers retours et me les laisse déguster.
    
    Mon cul me chauffe, mais ça n’a rien d’insupportable.
    
    Elle me fait attendre, alors par provocation, j’agite mes fesses, comme pour quémander la suite. Une série de cinq coups énergiques percute mon fessier. J’ai les larmes aux yeux.
    
    Un arrêt, et le martinet me frappe de bas en haut, entre les cuisses, les lanières embrasent mes lèvres et mon clitoris. La surprise et la douleur sont terribles, j’étouffe mon cri dans l’oreiller. Deux autres allers-retours balaient mon croupion, mais moins fermement que les précédents.
    
    Une pause. Machinalement, j’ai compté les coups, j’en suis à vingt. Ça me trotte dans la tête, et puis une phrase me revient « vingt et un, comme les roses ». Il en manque un.
    
    Mon amante autoritaire passe lentement le jonc en travers de mes fesses, puis s’arrête et l’appuie au milieu de ma croupe.
    
    Je sais ce qui m’attend, je fais le vide en moi. Et d’un coup, je réalise que je ne suis pas bâillonnée, qu’on va m’entendre dans tout l’hôtel. Je serre mes mâchoires à faire craquer mes dents. Un sifflement, puis la sensation que mon cul est coupé en deux. J’essaie de maitriser mon hurlement, je tremble de tout mon ...
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