Hélène (45)
Datte: 07/04/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: rouge22, Source: Xstory
Hélène : L’hôtel
Mél
Voilà, je suis arrivée devant l’hôtel L…..
C’est une belle journée d’hiver, froide et ensoleillée. Je déplie le message de ma belle, et je le relis pour la dixième fois.
— Vendredi, tu te présenteras vers dix-huit heures à la conciergerie de l’Hôtel L….
— Au comptoir, tu donneras ton nom de femme mariée.
— Dress code : tu n’auras qu’à imaginer comment je me serais habillée dans ces circonstances.
Je respire un grand coup et j’entre. Il fait chaud, je déboutonne mon manteau, dévoilant un corsage gorge de pigeon dont j’ai fait sauter deux boutons. Je l’ai assorti à une jupe plissée anthracite, me descendant au genou, et qui laisse voir la couture de mes bas gris perle. Un look mature bon chic bon genre. Dessous, une guêpière, couleur chocolat avec des demi-balconnets, assortis avec une culotte de dentelle. Ce genre de lingerie m’avantage : mon petit bedon est gainé, ma taille est serrée, mon opulente poitrine est à la fois maintenue et exposée. Et mes fesses sont dégagées quasiment jusqu’aux reins.
Pas de client au comptoir, je m’adresse sans attendre au concierge, ou plutôt à la concierge quadragénaire qui m’accueille avec un beau sourire.
— Bonjour, Je suis Madame Crurial, fais-je en essayant de cacher le léger tremblement de ma voix.
— Nous vous attendions, Madame, la chambre 221B vous est réservée, fait mon hôtesse, en me tendant une clé électronique.
Je me tourne pour me diriger vers l’ascenseur quand elle ...
... m’arrête.
— Il y a aussi ça pour vous
Et elle me tend et un petit paquet et un autre très allongé, ainsi qu’une enveloppe portant la mention : « à lire dans la chambre ».
— Désirez-vous qu’un groom vous accompagne.
— Non ça ira très bien.
Seule dans l’ascenseur, je me mets à trembler comme une feuille, l’angoisse, la crainte, le désir se mélangent. La suite est très élégante, avec un petit salon et surtout elle est équipée d’une très belle salle de bain avec une grande douche où on peut tenir à deux. Quant à la chambre, elle est dotée d’un grand lit, avec des parures blanches et jaunes et devant chaque oreiller une petite boite de chocolat. Je m’assoie sur le lit, j’ouvre l’enveloppe, un petit bristol porte ces quelques consignes.
— Ma toute belle, ouvre d’abord les paquets, tu vas tout comprendre
D’abord le petit colis carré. J’y trouve une paire de menottes et un foulard noir.
Ensuite la boite allongée. Je découvre une belle cravache gainée de cuir rouge. Pourquoi suis-je à peine surprise ? Je reprends ma lecture.
— Laisse la porte entrouverte.
— Mets-toi à genoux, au bord du lit, puis bande toi les yeux.
— Pose ta joue sur un coussin. Menotte toi dans le dos.
— Mais avant, tu peux manger quelques chocolats, mais laisse m’en.
J’ai la gorge nouée, je n’essaie même pas de gouter les friandises.
Je m’agenouille sur la housse de couette, je rapproche le polochon, je m’aveugle, je m’incline et j’appuie ma tête sur l’oreiller, je passe mes mains dans ...