1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... partouze.
    
    • Tu prétends obéir, il faut une autre preuve ! Ton cul est bien ouvert, tous doivent en profiter ! Fernando, Arnaldo, amigos, venez enculer ma cochonne, elle est à vous. Elle ne me refuse plus rien.
    
    Je suis douce, souriante, soumise à ce mâle :
    
    • Oui, Marc, mais doucement, s’il te plaît.
    
    • On verra ça ! Bien sûr, ma pute, sois vicieuse, cajole moi ces bites, ils doivent plus avoir grand-chose... Tu as tout vidé.
    
    La suite sera surréaliste. Au lieu d’être sur le banc, cul offert, Marc me fait mettre debout, penchée en avant, cinq routiers me retiennent.
    
    Fernando plonge son gland à l’entrée. Ils me poussent vers lui. Je rentre moi-même la bite avec ma main et l’amène au fond de mon cul. Elle me remplit.
    
    Comme pour José tout à l’heure, je serre, je le branle. Ca glisse tout seul. Pendant dix minutes, il me sosomise.
    
    En même temps, j’ai les mains libres, je me caresse fort la chatte, je m’excite, je lèche les ventres et les poitrines de ces vicieux, criant mon plaisir.
    
    • Tu vois, c’est bon les queues de routiers, Dis-le encore, petite putain !
    
    • OUI, je jouis ce soir, vous êtes les meilleurs, j’aime ça, dis leur... Un vrai cadeau je suis super contente... Et toi, Philippe, mon chéri, ça te plait ?
    
    • Tu sais que j’adore ça ! Ce soir, je suis servi ! Allez-y, les gars, vous la rendez heureuse et moi aussi !
    
    A peine dit, la bite de Fernando gonfle, je la sens bien, il se vide, rageur, agrippé à mes hanches, me fouille le cul de gauche à ...
    ... droite.
    
    Il embrasse, me mord le dos et sort.
    
    • Arnaldo vas- y !! Toi tu la fais hurler, sois brutal, pas de précaution, cette chienne adore ça, elle l’a dit, elle veut être déchirée devant nous, tu l’épuises. Après toi, elle doit être crevée.
    
    • J’ai entendu, je suis prête. Arnaldo, casse-moi le cul !
    
    Arnaldo entre sans prévenir, s’enfonce jusqu’à la garde, me fait mal, c’est lui qui a la une longue bite. Il va et vient, ses lourdes couilles tapent sur mes fesses.
    
    Il glisse, lui aussi est chez lui, dans mon cul.
    
    Je sens tous ses coups de butoir. Il me prend sans aucune douceur.
    
    Il tient mes seins, pince les tétons, collé contre mon dos. Il ouvre bien mes fesses, sa bite est au fond, dans mon cul, ça me chauffe, je mouille devant.
    
    • Pedro, José, elle a besoin d’une bonne fessée pour accélérer, je la sens mollir !. Olga, place-toi, comme il faut. Garde Arnaldo dans le cul, donne tes fesses, je veux rien entendre sinon dire que tu aimes...toute façon ton mari l’a dit
    
    Je suis penchée en avant, une bite dans le derrière, trois devant la bouche, soutenue par mes vicieux, Marc en maître de cérémonie, mon mari à deux pas.
    
    Pedro et José me tapent sur les fesses à tour de rôle. De petites claques, sèches, des caresses, des claques plus fortes. J’obéis, j’essaie d’éviter, ce qui fait bouger mon cul plus encore.
    
    • On change ! Pas de raison, tu es trop bonne Olga, trop bonne, vraiment tu me plais. Miguel, Franco, Fernand, à votre tour, une bonne fessée pour ...
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