1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... tenir toutes ses promesses.
    
    C’est au tour de José.
    
    • José, Remplis là, Olga demandes lui !!
    
    • OUI, José, allez-y, je veux vous sentir jouir, José, encule-moi maintenant, maintenant …
    
    Il gicle dans mon cul, se soulage, continue à me tenir, pour bien décharger. Il grogne.
    
    • Les gars, faites-vous sucer, maintenant elle a envie de boire, je le sens !
    
    Je demande :
    
    • Une autre, Venez, donnez-moi vos bites, je veux boire vos jus, Marc traduis !
    
    • T’inquiète, ils ont compris ce que tu veux !
    
    Je suis excitée à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. J'engouffre une queue en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ses couilles frétillent sous la pression de ma langue.
    
    Miguel n’a toujours pas joui. Je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens.
    
    Je leur demande qu’ils me giclent dans la bouche. Alors, je me mets à pomper en cadence. Je m'enfonce la queue le plus profondément possible dans le gosier. Je sens la queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma ...
    ... bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe.
    
    Le mec gémit mais ne jouit toujours pas.
    
    Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste plus. Il lâche un long cri sonore et décharge dans ma bouche.
    
    Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme.
    
    L’une après l’autre, les queues se vident dans ma bouche, sans aucune retenue.
    
    « Mes hommes » sont comblés, je les gâte avec amour, ma soumission est parfaite. Je dépasse tous leurs souhaits.
    
    PAR LA VOIE ETROITE
    
    Marc continue à être l’ordonnateur de cette nuit de ...
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