Toc,toc... - Histoires de Sexe

Toc,toc...

... mon gland entre complètement dans sa bouche et a fini de décalotter. Elle referme ses lèvres pour serrer la tige et creuse ses joues en aspirant comme une ventouse, avec la langue collée à mon frein. J’ai un nouveau soubresaut et donne un coup de reins. Résultat, ma bite s’enfonce d’un coup brusque. Elle encaisse sans broncher, les mains accrochées à ma queue pour ne pas reculer. Je rouvre les yeux et elle lève les siens pour accrocher mon regard. Elle desserre un peu son étreinte pour esquisser un sourire, avec ma queue énorme déformant ses lèvres. Je souffle :

— Tu me fais un effet de dingue. Tu es trop belle comme ça, avec ma bite dans ta bouche.

Sans quitter mon regard, elle descend encore pour venir cogner mon gland contre le fond de sa gorge en soupirant. Impossible pour elle de tout rentrer. Ma bite doit faire au moins 17 ou 18 cm de long et 4 ou 5 de circonférence, je ne l’ai jamais vue aussi grosse. Dessous ma tige, elle sort sa langue pour tenter de me lécher les couilles, mais elles sont trop loin. Elle pousse pour les atteindre, en vain. Les larmes lui montent aux yeux et son rimmel commence à couler. Le spectacle est incroyable. Je sais déjà que je vais garder cette sensation et cette image en mémoire toute ma vie. Elle ressort mon gros engin doucement de sa bouche en souriant. Sa salive abondante coule sur mon gland. elle commence à me branler :

— Eh ben, mon salaud, tu bandes vraiment comme un âne. Pourtant, je pensais que j’arriverais à l’avaler tout ...

... entière.
— Putain, Lydia, tu suces comme une reine.
— Pour toi, je veux être la reine des suceuses, dit-elle sans rire, en me fixant.

Elle détourne ses yeux, cernés de coulures de rimmel, pour étudier ma queue, trempée de salive et de champagne. Elle lèche le dessous de la tige en remontant jusqu’au frein d’un coup de langue presque brusque. Elle se penche pour me lécher les couilles, les gobe, les suce, l’une après l’autre. Elle s’applique consciencieusement et me jette des petits regards pour vérifier que je profite bien de ses attentions. Elle n’a pas cessé de me branler méticuleusement. Elle remonte vers ma tige, frotte mon gland contre sa joue et contre son nez et commence à le lécher, à le sucer en donnant des petits coups, à le frotter contre l’intérieur de sa joue. Elle me parle en même temps :

— J’aime ta grosse bite… slurp… elle est trop bonne… hum… avec le champagne… hum, hum, hum… après, tu me la mettras dans la chatte… slurp, slurp… mais là… hum… je vais te faire jouir… dans ma petite bouche de salope… lip, lip… ma petite bouche de pute que tu aimes… hum, hum… slurp… tu vas me donner ton foutre… Hummmm

Elle tire sa tête en arrière toute en aspirant à fond mon gland qui s’éjecte de sa bouche comme un bouchon de champagne.

Pop !

J’en ai des frissons dans tout le corps. C’est pas possible ! Ce n’est pas sa prof de danse qui lui a appris à faire tout ça ! Elle a regardé des films pornos, c’est sûr. Elle ne m’a jamais sucé comme ça, avant. Je me tords ...