Just a perfect day... - Histoires de Sexe

Just a perfect day...

... moi à leur arrivée, regarde par la fenêtre et ne semble pas spécialement à son aise ; la sosie d’Elle Fanning non plus, d’ailleurs. Elle et Armie échangent quelques mots à voix basse dans ce que je suppose être du néerlandais.

C’est lui qui, après quelques instants, brise la glace, en anglais ; nous échangeons quelques banalités sur Bruxelles, sur nous, et les non-dits de notre rapide conversation me confortent dans l’idée qu’eux non plus ne sont pas supposés être là ensemble. Du coin de l’œil, je vois Hortense observer la fausse Elle Fanning avec intérêt ; celle-ci finit par s’en apercevoir et lui adresse un sourire fugace.

Après quelques minutes, nous prenons congé de nos alter ego aryens, profitons un peu du hammam puis retournons dans notre chambre.

— Je vais faire pipi sous la douche, m’annonce Hortense en retirant peignoir et maillot.
— Super, toutes mes félicitations !

Elle marche jusqu’à la salle de bain de manière très aguicheuse, en laissant ostensiblement la porte ouverte. J’attends quelques instants avant de la rejoindre, nu également.

Je la retrouve sous le jet d’eau, tête relevée, les mains dans les cheveux. Cette position la sublime et accentue l’insolence de sa poitrine, qui attire naturellement mes mains puis ma bouche. J’ai le plaisir de sentir chacun de ses tétons durcir sous mes lèvres, tandis que ma main flatte son clitoris. Elle couvre ensuite mon torse de baisers et, s’agenouillant, me suce en me caressant les testicules. Cette fois ...

... je durcis rapidement, et elle se relève avec un sourire triomphant, se lubrifie l’entrejambe et me présente son adorable croupe. J’ai tôt fait de la posséder, et c’est avec douceur et volupté que je la baise, savourant le plaisir de coulisser dans son con chaud et humide.

Le sol de la douche étant glissant, je l’emmène devant le lavabo et l’invite à s’y appuyer pendant que je reprends notre coït en la serrant contre moi, les mains sur ses seins coniques, en me délectant du spectacle de son regard dans le miroir. Ses yeux s’écarquillent progressivement, à mesure que ses halètements montent en volume, mais son regard ne lâche pas le mien. Elle bouge son bassin de plus en plus fort. Je suis un rythme irrégulier, lui assénant par moments de brutaux coups de reins qui à chaque fois lui arrachent un cri. Flattant sa poitrine d’une main, je commence à lui caresser le clitoris de l’autre tout en continuant à la baiser. Hortense devient fébrile, se tend, et se dégage soudain de moi pour m’entraîner vers le lit, au bord duquel elle s’installe, appuyée sur les épaules et les genoux, le cul tendu vers moi. Sa vulve est rouge, entrouverte et luisante.

Wow. Cette vision sulfureuse et son regard incandescent qui me dit « prends-moi » déclenchent en moi un réflexe animal. Je lui agrippe les fesses et la saillis d’un coup, en grognant. Ma femelle exprime son plaisir avec force vocalises, m’incite à la baiser fort, et je m’exécute bien volontiers en intensifiant mes mouvements et en ...