Une après-midi craquante (3) - Histoires de Sexe

Une après-midi craquante (3)

... sa main de libre, il en profite pour me pénétrer d’un doigt, puis deux. J’ondule sous ce traitement, les fesses toujours en l’air, je sens mon plaisir s’agiter de plus en plus. Alors que ma respiration se fait plus rapide et saccadée, il en profite pour introduire un troisième doigt en moi, me massant avec application.

Ce n’est que lorsque mes gémissements se font bien entendre qu’il décide subitement d’arrêter. Je hurle ma frustration, mais je me fais couper court quand tout à coup, le plug s’enfonce en moi sans crier gare. Je suis abasourdie par cette pénétration inattendue.

Heureusement, le plug est bien lubrifié. Je hoquette tandis qu’il fait tournoyer la goutte de métal dans mon anus afin de me dilater. Il le rentre et le sort avec une facilité déconcertante, c’est à ce moment que je prends conscience de mon excitation. Je suis une boule de nerfs, prête à exploser. Malheureusement, je ne sais pas si j’en aurais le privilège.

Pendant qu’il joue avec mon cul, une vibration inattendue me fait sursauter. Le gode vibrant me caresse à nouveau le bouton-d’or puis glisse lentement dans mon con, tout en continuant son traitement anal.

Je le supplie de me libérer, je suis crispée au possible, mes articulations me brûlent au vu de cette position. Ma sueur perle le long de ma colonne, à l’endroit où s’était précédemment déversé un liquide maintenant au goût amer. Ce n’est qu’après une bonne trentaine de secondes, alors que je suis prête à jouir, qu’il retire le gode et ...

... le plug en même temps. Je hurle, je pleure à chaudes larmes maintenant, c’en est trop, je ne peux contenir plus de frustration.

Mais mon amant ne se laisse pas démonter par la petite chose ouverte et pleurnicharde se trouvant à sa disposition. Il me fait glisser jusqu’au bord du lit puis s’enfonce lentement dans mon cul. J’essaie de me calmer, mais impossible, je continue de pleurer, je ne sais même plus pourquoi.

— Tu veux jouir ma petite chienne adorée ?

Je sens son sourire narquois dans sa voix, il profite pleinement de sa position de dominant, me réduisant à un simple objet sexuel.

— Oui je t’en prie, je t’en supplie ! dis-je entre deux sanglots.

— Eh bien tu sais quoi ? J’en ai décidé autrement !

Je suis sur le point de crier mon mot d’alerte pour que tout se termine tout de suite, mais quelque chose m’en empêche. Je me tais, encaissant cette information qui ébranle un peu plus ma frustration lorsqu’il passe la main sur la sangle de mes poignets pour me libérer.

Récupérant un peu de ma mobilité, j’en profite pour tenter de m’enfuir, je me traîne à bout de force, mais ses ongles s’enfoncent dans ma chair pour me retenir. Je crie, je me débats, je veux jouir, tout m’échappe et me donne l’impression de m’enfoncer dans un gouffre sans fin.

Soudain, ses bras me soulèvent et je me retrouve la joue collée au mur, il en profite pour me nouer à nouveau les mains dans le dos.

— Là, au moins, tu ne m’échapperas pas.

Tandis qu’il me maintient fermement ...