Le Château (2) - Histoires de Sexe

Le Château (2)

... lui labourer la peau au travers de ses vêtements.

— Emmenez cette petite garce sur la scène, ordonna alors le comte.

Sans difficulté, Mario lui fit traverser la salle en se rapprochant du bar pour permettre à tous les invités de détailler la jeune fille. Le jeune homme noir était totalement nu et Clara ne put que remarquer sa verge de belle taille, dressée et encore luisante de salive. Les sept spectateurs et la jeune soubrette lui firent de grands sourires qui semblaient vouloir marquer une certaine complicité. Un escalier de trois marches lui permit de se retrouver sur l’estrade, face à la femme à la cravache qui la regardait d’un regard hautain et pervers à la fois.

— Chère amie, je vous présente Madame la Comtesse, lui annonça le comte.

Mario rapprocha Clara de la comtesse qui avait laissé pendre à son poignet droit sa cravache de cuir. Elle était de petite taille, vêtue d’une longue jupe de cuir noire fendue sur le côté, d’un bustier de dentelles qui laissait deviner une poitrine ferme et généreuse sans soutien-gorge et elle était perchée sur des petits bottillons à hauts talons. Mario positionna Clara tout près de la comtesse, elle pouvait sentir le souffle de sa respiration sur son visage.

— Ainsi donc, tu nous espionnais petite garce !

— Non, non Madame... je... j’avais entendu du bruit, alors je suis venue voir si...

— Et si madame la comtesse me permet, elle se caressait en regardant, ajouta Mario en coupant la parole à Clara.

— Hoo en plus ...

... d’être une voyeuse, tu es une vicieuse, tu sais ici, nous apprécions les vicieuses, dit la Comtesse en faisant courir ses doigts sur le fin visage de Clara. Et... tu mouillais ?

— ...

— Alors, nous allons voir cela nous-même, dit la Comtesse en posant ses deux mains sur les cuisses de Clara pour faire remonter sa jupe.

La jupe serrée fut rapidement remontée à la taille, dévoilant ainsi les dim-up noirs et une fine culotte parfaitement assortie au soutien-gorge. Comme Clara conservait ses cuisses serrées, elle lui ordonna de les ouvrir :

— Ecarte tes cuisses salope !

L’insulte frappa l’esprit de Clara comme une gifle et tout rouge, elle releva la tête, mais sans obéir pour autant. Toujours le sourire aux lèvres, mais sans un mot, la Comtesse fit glisser ses doigts dans son soutien-gorge pour faire jaillir un sein de sa victime. Et sans ménagement, elle se mit à lui tordre brutalement un téton.

— Obéis !

Clara poussa un cri, un cri de surprise, un cri de douleur, mais cette douleur agit en elle comme une décharge électrique. Sans qu’elle puisse se l’expliquer, elle sentit en même temps que la douleur une vague monter en elle, un mélange de douleur et de désir qu’elle n’avait jamais connu jusqu’alors. Et dans son dos, elle sentait encore plus fortement le sexe de Mario. Alors, elle obéit et desserra ses jambes. Aussitôt, la main de la Comtesse se glissa entre ses cuisses, caressant du bout des doigts son slip en dentelles avant de faire passer deux doigts ...