Le Château (2) - Histoires de Sexe

Le Château (2)

Le cœur de Clara battait à tout rompre dans sa poitrine. L’employé de maison maintenait toujours fermement ses deux bras en arrière, ce qui avait pour effet de mettre en avant son buste et sa petite poitrine serrée par la veste croisée de son tailleur et son chemisier de satin noir.

Le Comte ne la lâchait pas du regard et il fit un pas en avant pour se trouver à quelques centimètres de Clara. Lentement, de la main gauche, il défit les deux boutons qui maintenaient sa veste fermée. Clara poussa un cri de surprise et de peur. La veste ouverte laissait voir un chemisier très cintré qui mettait en évidence sa poitrine.

Clara releva la tête et jeta vers le Comte un regard implorant. Elle se rendit compte que tous les regards convergeaient vers elle et la femme mûre qu’elle avait vue pratiquer une fellation s’était redressée, elle était uniquement vêtue d’une guêpière noire avec des bas.

— Nous allons satisfaire votre curiosité ma chère, et peut-être même aller au-delà de ce que vous pouvez imaginer, ajouta-t-il en riant. N’est-ce pas mes amis ?

Un grand oui couvrit le cri poussé par Clara.

Il se mit alors à dégrafer le chemisier de la jeune femme, faisant apparaître un soutien-gorge de dentelles du plus bel effet.

— Non... non, je vous en prie, laissez-moi partir... je... je vais repartir à pied..... je...

— Vous n’y pensez pas ! Avec cet orage, vous allez être bien mieux ici, lui répondit le comte en terminant de déboutonner son corsage et en ouvrant ...

... largement les pans du chemisier.

Clara cherchait à se dégager de l’emprise du valet, mais elle savait que c’était impossible. D’ailleurs, celui-ci venait de resserrer son emprise et il la maintenait désormais tout contre lui. Par ses mouvements désordonnés, Clara se frottait contre le corps de son geôlier et elle poussa un cri de stupeur lorsqu’elle se rendit compte que ce qu’elle sentait dans le bas de son dos, cette bosse déjà dure, ne pouvait être que le sexe du majordome. Par un échange de regard avec son employé, Monsieur le Comte comprit la situation :

— Ho il semblerait que vous fassiez un fort effet à notre ami Mario ! Il semblerait qu’il ait une forte envie de vous baiser ma chère !

Clara se mit alors en mode panique : elle avait peur de ce qui allait se passer, elle aurait voulu fuir, mais dans le même temps, elle ne pouvait s’empêcher de lancer des regards vers la scène et vers les invités debout derrière les canapés. Son émoi de tout à l’heure, lorsqu’elle était masquée par les rideaux, remontait en elle et elle ne pouvait oublier ses furtives caresses au travers de sa jupe sur son entrejambe. Et puis ce sexe qu’elle sentait maintenant de plus en plus dur contre ses reins, il lui semblait être d’une taille imposante et elle ne pouvait oublier cette vidéo pornographique partagée avec son amant. Presque sans s’en rendre compte et sous couvert de tenter de s’échapper, elle se surprit à frotter son dos et ses fesses contre son gardien, sentant ainsi son pieu de chair ...