Action ou vérité (2) - Histoires de Sexe

Action ou vérité (2)

... pied, nous sommes tellement excités encore que je remarque en passant ma main sur son entrejambe que ma femme n’a pas jugé utile de remettre son string. Je l’ai alors plaquée contre un arbre avant de dénouer sa robe et ouvrir ses pans pour profiter sans vergogne de son corps ainsi dénudé tout en échangeant nos impressions sur cette soirée :

— Alors là cette fois, tu m’as surpris, ma belle. Tu as été parfaite, la reine de la soirée.

— Merci, cela m’a excitée follement, tu sais, d’être nue devant vous tous. Mais la cerise sur le gâteau a été surtout quand Vanessa m’a bouffé la chatte et que j’ai joui sous vos yeux !

— Oui, j’ai vu que tu t’éclatais en oubliant carrément notre présence et il n’y a pas que ça que j’ai remarqué, j’ai bien vu comment tu ne quittais pas des yeux leur salle de torture.

— Oui, je m’y voyais déjà attachée à chacun de leur appareil.

— A la vitesse où tout cela va, ce sera bientôt le cas, je pense.

— Tu m’en veux que je me comporte de plus en plus comme une salope ?

— Bien sûr que non. Je t’aime comme tu es ma chérie.

— Alors, encule à fond ta salope de femme !

Après avoir joui tous les deux avec une intensité décuplée par cet échange, nous avons terminé les derniers mètres nous séparant de la porte de notre jardin sans rien dire, plongés dans nos pensées, ma femme oubliant carrément de renouer sa robe.

Avant de conclure ce chapitre, Caroline tient à faire part au lecteur de tout ce qui a pu traverser son esprit à chaque ...

... moment important du jeu :

— Lorsque nous commençons de jouer, je ne peux m’empêcher de regarder Anabelle. Elle est magnifique, à peine plus petite que moi avec de petits seins appétissants que j’aimerais bien toucher à l’occasion et surtout pouvoir goûter un jour son abricot doré qu’elle nous dévoile à chaque fois qu’elle vient servir l’un d’entre nous. Elle se penche en effet sans plier les jambes, à la demande de ses maîtres sans doute, pour que tous nous puissions constater qu’elle ne porte rien sous sa micro-jupe.

— Quand vient mon tour de poser une question, j’en profite pour demander de visiter les lieux où ils organisent leurs fameuses soirées. Je suis d’abord surprise par la présence d’un grand lit au milieu de la première pièce. Je crois rêver ensuite en pénétrant dans la deuxième salle, lieu de soumission totale. Je serre alors fortement la main de Thierry qui me regarde et me répond par un sourire qui me fait du bien. Je ne peux m’empêcher d’imaginer être attachée sur chacun des ateliers pendant que l’on abuse de moi sans retenue, mon fantasme absolu devenant ainsi réalité. Je suis dans un tel état d’excitation que n’importe qui à ce moment-là aurait pu m’emmener pour me prendre sur l’un ou l’autre appareil. Je l’aurais laissé faire sans protester. Mon mari ayant remarqué mon trouble, déclenche alors notre retour au salon. Une coupe de champagne me permet rapidement de redescendre sur terre et suivre le jeu à nouveau.

— Luc demande cette fois à Anabelle de me ...