Action ou vérité (2) - Histoires de Sexe

Action ou vérité (2)

... aussi embauchée par des concurrents pour nous espionner. Quand nous l’avons su, nous lui avons fait comprendre qu’elle avait plus d’intérêt à travailler juste pour nous. Aussi maintenant elle nous est totalement dévouée, pas vrai Anabelle ?

— Oui Maître !

Cette réponse laconique qui établit clairement le lien entre eux me fait sourire. Le salon est décoré comme le reste avec beaucoup de goût. Ma femme impatiente tient à savoir si c’est dans cette pièce qu’ils organisent leurs soirées « hard ». Pour toute réponse, les cousins lui disent d’attendre encore un peu. Anabelle nous sert l’apéritif pendant lequel nos amis commencent par féliciter Caroline pour sa tenue, ce qui la fait rougir comme à son habitude. En effet, tout le monde a immédiatement remarqué l’absence de soutif sous la robe de ma femme lors de ses déplacements occasionnant un mouvement de balancier de ses seins libres sous le tissu semi-transparent et le frottement de ses gros tétons sensibles tombant légèrement.

Le repas se tient ensuite dans une franche camaraderie. Enfin, nous passons dans le salon pour prendre le café et un digestif toujours servis par Anabelle. Cette fois, c’est moi qui ouvre le bal des questions. Je m’adresse alors à Vanessa :

— As-tu déjà participé à une soirée hard de Luc et Paul ?

— Oui, et plusieurs fois.

C’est ensuite à Vanessa de poser à Caroline la fameuse question : action ou vérité ?

— Vérité, lui répond ma femme.

— Tu préfères être prise par-devant ou être ...

... enculée ?

— Je préfère être enculée, car depuis que mon mari m’a fait découvrir la sodomie, j’adore être prise ainsi.

Puis Caroline s’adresse à Paul : action ou vérité ?

— Action.

— Tu peux nous faire visiter les lieux où vous organisez vos soirées spéciales.

Nous nous sommes alors tous levés pour nous diriger vers une porte à double battant. Une fois ouverte, nous avons pu pénétrer dans une pièce agencée de façon fonctionnelle avec un grand lit trônant au milieu, bien pratique pour organiser des soirées « hot ». Luc nous invite ensuite à le suivre, car la visite n’est pas finie. Derrière un grand rideau, nous découvrons un escalier qui descend au sous-sol pour nous mener dans une autre pièce totalement différente.

J’entends Caroline pousser un « oh ! » de surprise à la vue de la salle BDSM qui apparaît sous nos yeux. Il y a un pilori, une croix de Saint-André, une table de gynécologie et de nombreuses chaînes qui descendent du plafond ainsi que le matériel adapté : fouet, cravache, chat à neuf queues et bien sûr des godes de différentes tailles. Caroline me serre la main un peu plus fort, mais continue d’inventorier pendant un long moment tout ce qu’il y a dans cette pièce. Nous remontons ensuite reprendre notre place au salon pour continuer le jeu.

Après quelques questions et actions anodines, c’est au tour de Luc que l’on n’a pas beaucoup entendu jusqu’ici. Il s’adresse à Caroline qui lui répond cette fois : « Action ». Luc claque des mains et Anabelle ...