1. J'aime ma sœur. (3)


    Datte: 30/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: MasqueBlank, Source: Xstory

    ... t’aurais pris pour un monstre, mais Abodée...
    
    Je séchai mes larmes et lui coupai la parole.
    
    — Pourquoi tu parles de lui ? Pourquoi tu es heureuse avec lui, mais pas avec moi ?
    
    — Laisse-moi finir, la première fois que je l’ai vu, j’ai été subjuguée par ce qu’il dégageait, un mélange de peur et de respect. Je n’ai pas eu grand-chose à dire pour qu’il lise en moi comme dans un livre ouvert, il a deviné que mon cœur était triste depuis longtemps.
    
    Je l’interrogeais du regard, j’ignorais qu’elle se sentait triste, pourquoi n’avais-je rien vu ?
    
    — Ne me regarde pas comme ça petit frère, je n’étais pas malheureuse puisque je t’avais toi, c’est juste que l’amour que j’avais en moi ne me semblait pas réciproque. Abodée m’a dit qu’il m’aiderait, qu’il avait une intuition et c’est ce qu’il a fait, même si j’étais stressée de savoir ce qui allait arriver.
    
    Cet homme est un magicien, je ne vois pas d’autre explication. Mettre une robe, des chaussures à talons qui me font mal aux pieds et me maquiller, ce n’était pas pour ses beaux yeux, c’était pour toi. Je t’aime, comme une sœur ne devrait jamais aimer son frère.
    
    Dès que sa déclaration fut finie, je l’embrassai avec toute la tendresse et l’amour que je lui portais, j’étais en ce moment précis l’homme le plus heureux et le plus soulagé que la Terre ait connu.
    
    Ma sœur avait pris les devants et commençait à se déshabiller, je ne réfléchissais pas plus et faisais de même avant de nous allonger sur son lit et de ...
    ... découvrir le corps de l’autre avec nos mains. Son corps était brûlant d’envie, je sentais ses seins fermes sous les paumes de mes mains avant de descendre doucement jusqu’à atteindre son entrejambe humide, comptant sur mon instinct pour trouver et jouer avec son clitoris.
    
    Une de ses mains continuait de parcourir mon corps pendant que l’autre jaugeait mon sexe en le masturbant lentement, j’ai eu un moment d’appréhension plutôt stupide, et bien masculin, qu’elle le trouve trop petit, car je suis loin d’être fortement équipé.
    
    — Valentin, ne perdons pas de temps, je t’offre ma virginité, viens, me dit-elle dans un souffle avant de s’allonger sur le dos et de m’attirer au-dessus d’elle.
    
    Ma première fois était encore plus exceptionnelle que je l’avais imaginée, la douceur de son corps, la sensation d’humidité et la compression de son sexe autour du mien n’étaient rien en comparaison du sentiment de béatitude qui me submergea au moment où je sentis Ophélie imprimer d’elle-même un rythme, le visage empli d’un bonheur ultime.
    
    J’ai alors accéléré un peu le rythme, voulant lui faire comprendre que j’allais toujours être là, qu’elle devait savoir que j’étais à elle. J’entendais les petits bruits qu’elle laissait échapper comme un bruit de fond lointain, mon cerveau et mon corps trop occupé à donner tout l’amour que j’avais.
    
    Après quelques minutes, je sortis de son corps avant de me mettre dans son dos, la prenant en cuillère, c’était apparemment une très bonne idée, ma sœur ...