Lou, sa mère et moi. Des vacances merveilleuses (4) - Histoires de Sexe

Lou, sa mère et moi. Des vacances merveilleuses (4)

... mon anus. Valérie vient d’ajouter un troisième doigt je pense. Ils entrent. Comme j’aime m’abandonner à elle. Ils, vont et viennent. Elle me pistonne doucement. Je gémis de plus en plus fort. Je les sens sortir. Je la sens m’ouvrir plus. Je suis son mouvement. Je la sens appuyer à nouveau et pousser doucement pour me prendre à nouveau les fesses. Elle est encore en moi, s’enfonce, s’enfonce. Je comprends alors que ce ne sont plus ses doigts. Elle s’enfonce trop en moi. J’ouvre les yeux, je vois Pierre qui est entre mes cuisses, Valérie me suce toujours. Je comprends que ce n’est plus les doigts de ma chérie, mais la queue de son frère qui m’encule, me possède, m’ouvre. Je gémis. Il s’enfonce, me relève les cuisses pour entrer plus en moi. Comme c’est bon ! Il touche mes cuisses. Je sens ses couilles contre mon cul. Doucement, il commence à me limer. Valérie se redresse, se contentant de me branler doucement. Elle regarde la queue de son frère qui me prend, qui progressivement amplifie ses mouvements, qui au fur et à mesure les accélère.

Je me fais enculer et j’aime. Que dis-je, je gémis, je couine, je m’accroche aux draps, je tangue, je deviens femelle et je sens un plaisir que je n’ai jamais connu monter. Le plaisir de m’abandonner, de donner mon corps ! Je gueule ! J’explose. Je vois mon foutre qui jaillit, retenu depuis plus d’une heure, il inonde mon amour, il macule mon enculeur, il tapisse mon ventre. Je sens alors la bite de Pierre qui gonfle, vibre presque et enfin ...

... se vide dans mes entrailles.

Quelques minutes après, nous sommes allongés. Nous reprenons nos esprits. Pierre est le premier à parler.

Merci à tous les deux pour ce merveilleux moment. Déjà faire l’amour à ma sœur était un fantasme depuis si longtemps, mais en plus cette soirée était au-delà de toutes mes envies et mon imagination. Je ne sais pas si cela se reproduira car la magie de cette semaine est une chose rare.

Valérie lui pris la tête pour l’embrasser doucement sur la bouche.

Tu as raison mon frère. Tous les deux vous m’avez comblé. Vincent d’abord en acceptant notre relation et même en m’encourageant, puis ensuite en acceptant de se laisser aller là où je voulais l’amener. Toi Pierre ensuite en me donnant tant de plaisir et en voulant tenter l’expérience d’enculer mon chéri. Pareil, je ne sais pas si cela se reproduira, mais quel bonheur de l’avoir vécu avec vous deux.

Plus secoué qu’eux deux, j’eu un peu de mal à parler et donc le silence s’installa quelques minutes.

Vous avez raison. Il est peu probable que j’ai envie de reproduire cela. Merci à tous les deux d’avoir sur m’amener à me lâcher ainsi.

Finalement Pierre regagne sa chambre et Valérie et moi nous endormons, tendrement enlacés.

Le lendemain est triste. Météo mauvaise dehors, météo triste dans nos têtes. La matinée se passe. Le repas. Lou et Léo semblent eux aussi maussades. Visiblement les deux jeunes s’entendent bien. Il va falloir faire parler la fille de Valérie dans les jours à ...