Lou, sa mère et moi. Des vacances merveilleuses (4) - Histoires de Sexe

Lou, sa mère et moi. Des vacances merveilleuses (4)

... entrouvert. Je saisis ses hanches des deux mains et sans réfléchir, je m’enfonce en elle, d’un coup, brutalement, comme pour lui montrer qui était le "maître" dans notre couple. Un cri de douleur sort de sa gorge. Je l’entends et imagine des larmes sur son visage. Cela m’importe peu. Au contraire. Cela ne fait que renforcer ce besoin de la posséder brutalement. Je sors. Recommence. Plusieurs fois. Et à chaque fois, je l’entends gémir. Mais progressivement, ce que je percevais comme de la douleur devient du plaisir. Je vois d’ailleurs son anus qui maintenant reste grand ouvert quand je sors d’elle. Mais peu importe. Ses gémissements sont pour moi la preuve que je dois continuer de la même manière. Je la possède, la punie, montre à Pierre qu’elle est mienne entièrement. Et cela dure. De longue minutes. Je suis inépuisable. Je regarde son frère. Je le vois maintenant bander comme un âne. Visiblement, me voir punir ainsi sa sœur lui plait.

Epuisé de mes coups de boutoir, elle s’affale sur le lit. Je m’avance. Replace ma queue entre ses fesses et me laisse quasiment tomber en elle. Je ne l’encule plus, je lui laboure les fesses. Et pourtant, elle crie de plus en plus fort jusqu’à se mettre à hurler comme une quasi démente. Jamais je ne l’ai entendu ainsi et surtout je sens sous mes cuisses une folle humidité. Je ne sais si elle a pissé ou si elle est devenue fontaine, mais elle vient d’inonder le drap.

J’arrête alors tout mouvement en elle et sors doucement. Comme pour ne ...

... pas irriter plus son petit trou que je viens de martyriser pendant dix bonnes minutes. Je m’allonge à ses côtés et vient la câliner. Elle me regarde et me dit doucement "Tu vas me payer ce gigantesque orgasme mon amour" et elle m’embrasse tendrement.

Je n’ai pas joui. Cela doit faire presque une heure que je suis à bander comme un fou. Valérie m’allonge sur le dos. Doucement elle se redresse et vient me sucer avec une douceur qui contraste avec la manière dont je l’ai prise quelques minutes avant. Sa main vient se glisser entre mes cuisses. Elle me caresse les bourses, le périnée. Je comprends alors la punition qu’elle veut me faire subir. Me doigter et me faire jouir comme il y a quelques jours.

Son doigt me masse doucement la rondelle et progressivement, elle introduit d’abord la première phalange puis rapidement la totalité du doigt suit. Elle le fait aller et venir en moi doucement. Je la regarde. Comme elle est belle ! La bouche pleine de mon sexe ! Je la vois et la sens sortir son doigt. Prendre le tube de lubrifiant qu’elle a miraculeusement dans l’autre main et venir mettre une grosse noisette sur mon anus. Elle me masse, en ajoute, me masse encore et maintenant entre deux doigts. Pierre est venu se placer en face. Il me regarde, me sourit. Comme s’il m’encourageait dans le plaisir que je reçois. Je m’abandonne entièrement aux doigts de ma chérie. Je les sens bouger, s’enfoncer, sortir ! Je suis bien. Je ferme les yeux. Je sens maintenant un appui plus fort sur ...