1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... habillée de son éternel tailleurs élégant à peine froissé par nos ébats. Sa jupe était juste un peu remontée sur ses jambes trop fines et dévoilait la lisière d’un bas et l’amorce d’une jarretelle, car belle maman en était resté aux bas, je le savais pour les avoir vu sécher dans la salle de bains. Malgré l’avènement du collant elle restait fidèle aux bas et je m’en félicitais sur l’instant.
    
    Elle m’a si bien sucé que je n’ai pu me retenir, je lui ai tout lâché dans la bouche.
    
    Elle a aimé je peux vous le dire, je l’ai senti au frisson qui a accompagné ma jouissance, elle en frémissait de recevoir mon sperme et ses doigts se sont crispé sur ma verge pendant que je me répandais en saccades laiteuses dans sa bouche. Elle a tout pris sans laisser échapper une goutte, jusqu’à l’ ultime que ma queue a pu lui délivrer, sa langue a gobé et sucé le gland jusqu’à ce qu’il fut propre et rose comme au premier jour.
    
    Ma belle mère venait de me tailler la plus belle pipe de ma vie ! Jamais sa fille ne fut en mesure de me faire la même, bien qu’elle aussi fut à bonne école. J’étais là, allongé nu sur son lit, elle était habillée à mes pieds, ma queue encore raide entre ses doigts et elle me souriait, triomphante.
    
    _ « C’était bon non ?! »
    
    Il y avait une bonne dose d’ironie dans cette interrogation qui n’en était pas une en fait. Juste marquer sa victoire, montrer ma faiblesse, ma défaite. J’étais à sa merci, elle savourait son triomphe. Elle m’a chuchoté en me regardant dans ...
    ... les yeux :
    
    _ « Ca restera entre nous bien sur »
    
    Je n’ai rien répondu, j’en étais bien incapable, mais une colère sombre a commencé à m’envahir. J’étais en colère après moi de m’être fait piéger ainsi. J’avais le sentiment d’être ridicule, nu devant une vieille dame qui savourait sa victoire. Je n’ai plus supporté la situation et soudain je me suis redressé sur le lit, je l’ai attiré à moi et j’ai commencé à la dé habiller furieusement.
    
    Sa veste a valsé à travers la chambre, et oui, elle avait gardé sa veste, c’est dire ! Ensuite sa jupe a glissé en un tourne main et son corsage a volé sur la plancher.
    
    Je me suis arrêté pour contempler mon œuvre, elle était en face de moi en soutien gorge et gaine, noirs tous les deux et des bas noirs couvraient ses longues jambes maigres. J’ai regardé le tableau, il y en avait de plus sexy je dois dire mais bon, vu les circonstances et l’arrogance de la dame j’allais pas flancher maintenant. J’ai caressé le soutien gorge et j’ai été déçu, tout était faux la dedans. Un soutien gorge empli forme pour faire croire qu’elle avait des seins alors qu’elle était rigoureusement platte. J’ai eu le tort de le lui enlever, il n’y avait guère que les tétons qui pouvaient faire penser à une femme.
    
    Mais que voulez vous, je ne pouvais pas inventer, c’était ainsi. Et ma rage en a été plus forte.
    
    Moi, voyez vous, j’aime les gros seins. En avoir plein les mains, pouvoir masser des chairs molles que vous sentez se raffermir au fur et à mesure que ...
«1...345...17»